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25 août 2008 1 25 /08 /août /2008 09:12


Article paru dans le Républicain Lorrain du 23 août 2008 (Edition Thionville-Hayange)

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14 août 2008 4 14 /08 /août /2008 11:39

M. Michel Liebgott attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture et de la pêche sur les conséquences de la révision générale des politiques publiques (RGPP) pour l'entretien et la gestion des forêts privées. Les dispositions envisagées par le Gouvernement dans le cadre de la RGPP vont engendrer des conséquences néfastes au bon fonctionnement des centres régionaux de la propriété forestière (CRPF) en charge de la gestion des forêts privées de France, représentant un peu plus de 10 millions d'hectares. Les forestiers privés regrettent de ne pas avoir été suffisamment associés aux discussions à propos de la RGPP et constatent une réduction envisagée de 2 millions d'euros de leur dotation annuelle. Ils s'étonnent par ailleurs d'une possible diminution de leurs effectifs alors qu'ils sont déjà largement insuffisants au regard des besoins. Il convient en effet de rappeler que les CRPF sont en charge de l'instruction des plans simples de gestion des forêts privées au-delà de 25 hectares et de tous les documents de gestion des petites forêts privées, qu'ils orientent la gestion durable des 2/3 de la forêt nationale, qu'ils aident à l'amélioration de la ressource en bois par une politique forte d'aménagement foncier et enfin qu'ils contribuent à la formation des sylviculteurs. Il souhaite donc connaître les intentions du Gouvernement s'agissant des forestiers privés et des CRPF dans le cadre de la RGPP.

Réponse parue au JO du 12/08/08 : La révision générale des politiques publiques (RGPP) mise en oeuvre par le Gouvernement prévoit une organisation réformée pour les dix-neuf établissements publics administratifs (EPA) que constituent les centres régionaux de la propriété forestière (CRPF) et le Centre national professionnel de la propriété forestière (CNPPF). Les CRPF créés par la loi n° 63-810 du 6 août 1963 et par le décret du 13 avril 1966 sont chargés par le code forestier du développement et de l'orientation de la gestion des forêts privées. Le CNPPF prévu par la loi d'orientation sur la forêt du 9 juillet 2001 a été créé pour coordonner l'action de ces 18 CRPF et les représenter auprès du ministre chargé des forêts. Ensemble, ils ont pour objectif d'assurer la gestion durable de la forêt privée française qui représente 11 millions d'hectares pour environ 3,5 millions de propriétaires individuels et de groupements forestiers. En ce qui concerne ces établissements, le conseil de modernisation des politiques publiques s'est prononcé le 11 juin 2008 en faveur de leur regroupement en un établissement national unique composé d'échelons régionaux. Il a également prévu qu'une concertation entre ces échelons régionaux et les chambres régionales d'agriculture soit organisée par les directions régionales de l'agriculture et de la forêt (DRAF). Ainsi, le niveau régional conserve bien sa légitimité. Ces établissements et l'ensemble des composantes de la forêt privée sont appelés à travailler avec mes services pour permettre à ce nouvel établissement national unique de servir au mieux les intérêts du développement forestier. Ce schéma organisationnel sera donc en mesure de maintenir et même de conforter les missions de développement forestier exercées par les CRPF et le CNPPF, conformément aux objectifs de mobilisation du bois dans le cadre de gestion durable fixés par les assises de la forêt.

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12 août 2008 2 12 /08 /août /2008 16:13

Jeudi matin (7 août), en mairie de Trieux, Michel LIEBGOTT, Christian ECKERT et Patrice DELATTRE, représentant le Président de l’Association des Communes Minières de France (ACOM) et Député-maire de Liévin, Jean-Pierre KUCHEIDA, ont reçu une délégation lorraine de la CGT Mines concernant leur demande de lever la prescription dans les dossiers des maladies professionnelles « Silicoses » et « Sidérose ».
Lors de cette entrevue, il a été notamment question des conséquences du jugement du Tribunal des Affaires de Sécurité Sociale (TASS) de Metz, rendu le 05 mai dernier, condamnant pour faute inexcusable la société ArcelorMittal pour le cas d’un mineur ayant travaillé 33 ans dans la mine de Montrouge à Audun-le-Tiche et atteint par la sidérose.
Cette décision, qui reconnaît sur le fond les dangers de l’inhalation des poussières de minerai de fer, pourrait faire jurisprudence. Pourtant, dans l’état actuel de la législation et du code de la sécurité sociale, elle ne peut bénéficier aux anciens mineurs dont les dossiers sont prescrits. Pour pouvoir élargir le champ des indemnisés, la délégation de la CGT Mines a demandé aux parlementaires d’intervenir dans le cadre du projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS). Il s’agirait, comme cela avait été déjà demandé en 2006 par Patrick ROY, député socialiste du Nord, de supprimer le délai de forclusion prévu pour les pathologies spécifiques aux mineurs et anciens mineurs. Le Gouvernement n’y avait alors malheureusement pas donné suite.
Michel LIEBGOTT et Christian ECKERT ont indiqué qu’ils porteraient cette problématique, ô combien importante pour les mineurs des grands bassins français (Nord Pas-de-Calais, Lorraine, Cévennes, Carmaux…), auprès du groupe socialiste de l’Assemblée Nationale, dans le cadre de l’examen du PLFSS à l’automne. Un travail collectif préparatoire en amont sera à cet effet réalisé par les parlementaires. Technique d’abord par l’obtention de toutes les informations de statistiques médicales auprès des CAisses Régionales de la sécurité sociale dans les MInes (CARMI) et de l’Agence Nationale de Garantie des Droits des Mineurs (ANGDM) afin d’établir une évaluation précise de la situation. Politique et financier ensuite, en sollicitant auprès des ministères de la santé et du travail, l’intégration de cette question au débat parlementaire sur le PLFSS.
L’indemnisation des pathologies du mineur fera par ailleurs l’objet d’une communication spécifique lors de l’Assemblée Générale des Communes Minières de France qui se tiendra le 07 octobre prochain à Saint-Etienne.       

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7 août 2008 4 07 /08 /août /2008 15:34



Traduction

Bombay, le 28 juillet 2008

Chère Madame ROYAL, Cher Monsieur LIEBGOTT,

Merci pour votre lettre datée du 18 juin en référence à votre visite de notre usine CORUS RAIL de Hayange le 14 mai dernier.

Je peux vous confirmer que le développement industriel du site de Hayange est un projet stratégique de notre groupe, actuellement en cours d’étude. Clairement, les investissements de cette échelle requièrent une analyse économique attentive et les décisions à prendre seront dépendantes de l'engagement de nos clients à fournir le nécessaire retour sur investissement.

Plusieurs rencontres d’actionnaires de nos sociétés sont actuellement en cours. C’est pourquoi, je suis dans l’incapacité de pouvoir voyager ces prochains mois. Cependant, j'attends vraiment avec impatience de visiter le site un jour ou l'autre dans l'avenir. Néanmoins, Philippe VARIN, PDG de CORUS, et Phil DRYDEN, DG chargé des produits plats, sont disposés, si vous le souhaitez et à votre convenance, à évoquer ces propositions d’investissements dans le détail.

Avec mes respects,
Veuillez agréer l'expression de mes sentiments les plus distingués

Ratan N. TATA
PDG du Groupe TATA STEEL 

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26 juillet 2008 6 26 /07 /juillet /2008 11:01

Notre département souffre et pourtant il reste le mal-aimé de l’Etat français. Et, malheureusement, la droite locale est totalement incapable de s’opposer au florilège des coups de massue venant de son propre camp, celui de la politique libérale du gouvernement UMP. Les tribunaux fermés, l’école décimée, la sidérurgie moquée, l’université oubliée et maintenant les militaires et nos territoires amputés.


8.000 postes de militaires perdus ce sont 25.000 personnes de moins pour la Lorraine alors que la situation démographique est l’une des plus préoccupante de France, bien loin derrière les régions baignées par le soleil.

Et que répondent ceux qui devraient nous défendre à Paris dans cette compétition, que « la Moselle s’en remettra ». Nous ne pouvons plus nous résigner à attendre que la main invisible nous sorte de cette impasse. Nous devons tous réagir face l’agressivité de la politique de démembrement des territoires menée par le binôme SARKOZY-FILLON. Nous devons faire passer les intérêts de notre département avant ceux d’une prétendue réforme, menée avec brutalité et sans concertation aucune. Comme à l’Assemblée Nationale d’ailleurs, où des textes rétrogrades pour les droits des salariés (temps de travail, droit de grève dans la fonction publique, droits et devoirs des demandeurs d’emplois…), ont été votés en plein été, au moment où l’opinion publique n’est pas toujours pleinement sensibilisée sur ces sujets et sur leurs conséquences. La rentrée sociale s’annonce mouvementée...

Dans l’attente, bonnes vacances malgré tout à ceux qui ont la chance de pouvoir s’évader par le voyage ou par la lecture….

Michel LIEBGOTT

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25 juillet 2008 5 25 /07 /juillet /2008 16:19

M. Michel Liebgott attire l'attention de M. le secrétaire d'État chargé de l'industrie et de la consommation sur les conclusions de l'étude réalisée par UFC-Que choisir s'agissant des dépenses des consommateurs en matière de téléphonie mobile. Les études se suivent et confirment que le marché de la téléphonie mobile souffre d'une absence flagrante de concurrence, et ce au détriment des consommateurs. Depuis le développement de cette technologie, c'est-à-dire depuis près de 10 ans, seuls trois opérateurs se partagent un marché que l'on peut aisément qualifier d'oligopolistique. Orange et SFR disposent ainsi, à eux deux, de près de 80 % des parts de marché en France. Cette situation leur permet de piloter le marché et d'imposer leurs conditions aux clients.
À ses multiples interpellations des pouvoirs publics, l'UFC-Que choisir s'est vue régulièrement opposer par le Gouvernement que les prix avaient baissé. Or l'étude qu'elle vient de mener, sur la base d'une analyse par profils de consommateurs, semble montrer que, dans la majorité des cas, la facture des consommateurs a augmenté ou au mieux stagné. Selon l'UFC-Que choisir, il n'y a pas eu une vraie baisse généralisée des prix entre 2003 et 2007, alors que les réseaux de téléphonie mobile sont désormais amortis. Cette étude met par ailleurs en évidence que la structure de l'offre (les types de forfaits) est toujours plus complexe. En conséquence de quoi, ajouté à la rigidité de l'offre (volume des forfaits défini de manière très restrictive, durées d'engagement élevées...), les consommateurs peuvent difficilement optimiser leur consommation.
Il lui demande donc quelles mesures le Gouvernement compte prendre afin d'encadrer beaucoup plus rigoureusement les pratiques commerciales des opérateurs de téléphonie mobile, tout particulièrement en ce qui concerne les durées d'engagement. Il souhaite par ailleurs connaître les intentions précises du Gouvernement s'agissant du développement des opérateurs mobiles virtuels (MVNO).

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22 juillet 2008 2 22 /07 /juillet /2008 15:41

Vendredi dernier, en Préfecture de Moselle, le Grand duché de Luxembourg et la France ont annoncé la création d’un Groupement Européen de Coopération Territorial, nouveau dispositif, issu de la transposition d’un règlement européen daté du 31 juillet 2006, récemment introduit dans le droit français. Ce nouvel outil va permettre d’accompagner la mise en oeuvre de l’objectif « coopération territoriale européenne », qui constitue le troisième objectif de la nouvelle politique de cohésion pour la période 2007-2013. Le périmètre de ce premier GECT lorrain intègre 4 communes du coté luxembourgeois (Esch-sur-Alzette, Sanem, Mondercange, Schifflange) et 8 du côté français, toutes membres de la Communauté de Communes du Pays-Haut Val d’Alzette, présidée par André PARTHENAY.
Je me félicite de l’avancée rapide de ce dossier pour lequel je me suis largement investi des deux cotés de la frontière, en rencontrant régulièrement les décideurs luxembourgeois (Députée – Maire de Esch-sur-Alzette, ministres luxembourgeois…) et français (Président et Maires de la CCPHVA, Conseiller Général, Conseil Régional…), en intervenant au Palais Bourbon pour hâter la transposition du règlement européen (cf. Intervention  - http://www.michel-liebgott.com/article-16104946.html ).
Avec ce GECT, les élus français et luxembourgeois pourront, dans un cadre juridique précis et avec de nouveaux moyens financiers, travailler sur plusieurs dossiers intéressants les frontaliers au quotidien. Je pense notamment à la mobilité frontalière, à la construction de nouveaux équipements publics, au développement d’une agglomération transfrontalière et pourquoi pas à un ECOPOLIS tel que suggéré dans le désormais très célèbre rapport ATTALI.
Si l’effort d’une ambition commune est louable, si l'unanimité était de mise vendredi en préfecture, il faut tout de même regretter que du coté français, l’investissement financier ne soit toujours pas à la hauteur du milliard d’euro investi par l’Etat luxembourgeois pour le projet Esch-Belval, intégré dans le périmètre du GECT.


Michel LIEBGOTT
Député de Moselle
Maire de Fameck

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21 juillet 2008 1 21 /07 /juillet /2008 21:56
La Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, Valérie PÉCRESSE, vient d’annoncer la liste des dix sites sélectionnés pour le « plan campus ». La volonté de rendre plus visible, au niveau Européen, une dizaine de sites universitaires, en plus de Paris, était une bonne idée, à condition que ceux-ci soient équitablement répartis sur le territoire national. La décision de ne pas retenir d’universités au Nord d’une ligne Bordeaux/Strasbourg, est une décision incohérente, indécente, injuste et inadmissible.
Dix régions françaises du Nord de la Loire, (Bourgogne, Bretagne, Champagne-Ardenne, Franche-Comté, Lorraine, Nord-Pas-de-Calais, Basse-Normandie, Haute-Normandie, Pays de Loire, et Picardie) auxquelles il faut rajouter les régions du centre de la France, (Auvergne, Centre, Limousin et Poitou-Charentes) et la Corse, n’auront aucun financement public pour rénover leurs campus universitaires. Et pourtant, ces quatorze régions comptent plus de 25 millions d’habitants, autant que le Sud de la France qui a 6 campus choisis.
Il est inadmissible qu’aucun des trois campus constitués de 3 ou 4 universités et comptant plus de 50 000 étudiants (Lille, Nancy-Metz, Rennes) mais aussi Clermont-Ferrand n’aient été retenus. Comment la Ministre, certes francilienne, a-t-elle pu oublier la moitié de la France ? Comment les conseillers ministériels ont-ils pu laisser passer une telle boulette, car elle est énorme, en faisant passer aux « oubliettes » le Centre, l’Est et le Nord de la France ? Il s’agit d’un affront fait à un territoire aussi important que les Pays-Bas et la Belgique réunis (27 millions d’habitants), ou encore que la Hongrie, la République Tchèque et la Slovaquie (25,5 millions d’habitants). Imaginez-vous que les Hongrois toléreraient que l’on déclasse l’université de Budapest ou les Belges, celle de Louvain ?
Cette décision est gravissime, car elle organise le déplacement programmé de la matière grise vers Paris et le Sud de la France. Les régions écartées devront financer elles-mêmes entre 200 et 400 millions d’euros et il est évident que ce « manque à gagner » sera payé par les contribuables de régions déjà souvent défavorisés.
Nous, soussignés, demandons donc au Gouvernement de revoir sa copie pour parvenir à plus d’équité sur le territoire national et souhaitons qu’il réunisse à nouveau en octobre le comité de sélection, pour une modification de la décision initiale.
Une délégation de signataires de toute sensibilité transmettra cette pétition à Monsieur le Président de la République, à Monsieur le Premier Ministre, à Madame la Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, à Monsieur le Président de l’Assemblée Nationale et à Monsieur le Président du Sénat, à la rentrée d’octobre.
Signez cette pétition, faites-la signer, faites-la circuler. Pour montrer notre détermination, diffusez-la largement auprès des élus, des universitaires, des chefs d’entreprises, des organisations syndicales et du grand public.

A renvoyer à : Opération campus : la France perd le Nord

par courriel :
jyledeaut@assemblee-nationale.fr   ou    jean-yves.le-deaut@wanadoo.fr

ou également

michel.liebgott@wanadoo.fr

par courrier :

Permanence de Jean-Yves LE DÉAUT
Député de Meurthe-et-Moselle, 1er Vice-Président du Conseil Régional de Lorraine
14 rue Victor Hugo – B.P. 177 – 54706 PONT-A-MOUSSON CEDEX

Permanence de Michel LIEBGOTT
Député de Moselle, Maire de Fameck
4, rue Jacques Tourneur
57700 HAYANGE
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20 juillet 2008 7 20 /07 /juillet /2008 08:08

Communiqué de presse de Jean-Marc TODESCHINI, Sénateur de Moselle, transmis le 19 juillet 2008

Dans une récente Lettre ouverte, largement reprise par les médias, Jean-Louis Masson invite certains députés et tous les sénateurs mosellans à voter contre la réforme de la Constitution proposée par le Gouvernement de Nicolas Sarkozy au Congrès, réuni à partir de lundi à Versailles. Qu’il ne s’inquiète pas pour les sénateurs Gisèle Printz, Jean-Pierre Masseret  et moi-même, pas plus d’ailleurs que pour les députés Aurélie Filippetti et Michel Liebgott : nous voterons contre cette réforme. Pas pour faire pression sur le Ministre de la Défense mais simplement parce qu’elle est mauvaise pour la République française.
Pour ce qui est des restructurations militaires, nous n’avons pas attendu son  invitation pour nous mobiliser auprès des populations et des élus concernés. Nous avons été plusieurs à manifester, à Bitche comme à Metz, afin de montrer toute l’importance que nous attachions à ce sujet.
Jean-Louis Masson parle des députés de Bitche et de Dieuze, messieurs Lett et Marty, qu’il souhaite voir manifester leur mécontentement contre les restructurations militaires en refusant de voter la réforme de la constitution. Il a la mémoire sélective, oubliant opportunément ses amis députés UMP Marie-Jo Zimmermann, Denis Jacquat, François Grosdidier et Jean-Marie Demange. Les agglomérations de Metz et Thionville vont aussi souffrir de ces restructurations. Dominique Gros et Bertrand Mertz se sont mobilisés, dès leurs élections respectives, pour défendre les unités implantées dans leur agglomération.
Comme Jean-Louis Masson nous regrettons l’attitude sectaire et schizophrène de certains élus UMP qui, au garde-à-vous, votent les réformes à Paris mais les dénoncent dans leurs circonscriptions ! A commencer par « Le Grand Muet » Philippe Leroy : après avoir défendu dans de discrets cénacles parisiens quelques régiments, il s’apprête à voir plusieurs milliers de personnes quitter la Moselle sans réagir.

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19 juillet 2008 6 19 /07 /juillet /2008 09:38
En présence de nombreuses personnalités dont le Maire et Conseiller Général de Thionville, Bertrand MERTZ, du sénateur Jean-Marc TODESCHINI, de la Vice-Présidente du Conseil Régional, Hélène BENABENT, du Sous-préfet de Thionville, François MARZORATI...




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