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30 mars 2006 4 30 /03 /mars /2006 08:12
Michel LIEBGOTT a participé au "Forum Job Eté", organisé par l'Anpe, en partenariat avec la mairie de Hayange, la communauté d'agglomération du Val de Fensch, la Mission locale qui se tenait hier à la Salle Molitor à Hayange. Le public jeune était au rendez-vous. Cela démontre leur sens des responsabilités et leur volonté de préparer au mieux leur parcours professionnel. Ces emplois d'été sont en effet non seulement une source de revenus non négligeable pour préparer le long et difficile parcours de l'insertion professionnelle par la formation mais également une expérience importante et utile dans la construction de son CV. Félicitations aux organisateurs  et aux entreprises qui s'engagent et s'investissent dans ces démarches...

Sur la photo: Michel LIEBGOTT avec le sous-préfet de Thionville sur le stand de la Communauté d'Agglomération du Val de Fensch

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29 mars 2006 3 29 /03 /mars /2006 14:33

La nouvelle mobilisation d'hier contre le CPE, dont j'ai pu mesurer l'ampleur hier à METZ,  montre à quel point le sujet  préoccupe les français. L'entêtement du Gouvernement est plus que jamais porteur de dangers. La gravité de la situation appelle à présent une attitude responsable du Président de la République et de son Premier Ministre. Le temps des tergiversations doit laisser place à la seule décision possible: retirer le CPE et commencer un dialogue qui n'a jamais eu lieu, que ce soit avec les parlementaires ou avec les partenaires sociaux.

Michel LIEBGOTT  

Extraits de la conférence de Presse de François HOLLANDE suite aux manifestations d'hier: 

« Aujourd’hui, plus de deux millions de personnes se sont mobilisées, dans toutes les villes de France, contre le CPE. Il s’agit d’une manifestation d’une ampleur exceptionnelle. Le Président de la République comme le Premier ministre doivent prendre la mesure de la gravité de la situation et en terminer avec une crise dont il ne tient qu’à eux d’en trouver l’issue. C’est donc un appel à la responsabilité que je lance, au nom du Parti socialiste, aux plus hautes autorités de l’Etat. Elles ne peuvent plus prendre le risque d’un affrontement avec la majorité du pays. Pas davantage celui d’une confrontation avec la jeunesse.

L’entêtement deviendrait un enfermement.

Il est passé le temps des invitations à une discussion sans contenu, où le Premier ministre dit tendre la main aux partenaires sociaux, mais n’a rien dans la main. Il est passé le temps des aménagements du CPE quand ce sont ses fondements mêmes qui doivent être remis en cause. Il est passé le temps des tactiques au sein même de la majorité ou de l’UMP –ce qui revient au même. Car, comment comprendre le jeu personnel de Nicolas SARKOZY, quand on sait qu’il est lui-même l’inspirateur du Contrat Première Embauche. Le Parti socialiste demande avec plus de solennité encore, compte tenu de l’ampleur des manifestations d’aujourd’hui, au Premier ministre et au Président de la République, le retrait du Contrat Première Embauche. C’est le préalable, c’est la condition à toute ouverture de négociation par ailleurs nécessaire sur l’emploi des jeunes. Notre pays a besoin, enfin, de retrouver sa sérénité, l’apaisement et la capacité qu’il doit avoir –y compris jusqu’en 2007, date des élections- de vivre en harmonie. Retrait, négociation, puis retour au Parlement pour le vote d’une nouvelle loi. Telle est la démarche que nous proposons ; telle est la responsabilité du Parti socialiste dans ce moment. Puisque nous prenons notre responsabilité, que le Chef de l’Etat, que le Premier ministre prennent enfin la leur ».

 

 

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25 mars 2006 6 25 /03 /mars /2006 08:12

Article paru dans le Républicain Lorrain du 25 mars 2006

Slogans et banderoles ont été ressortis hier à Fameck. Quelque peu avortée la veille en raison de l'arrivée « d'individus extérieurs à l'établissement, bien agités », dixit un élève, la manifestation est cette fois arrivée à son terme. Davantage structuré, le mouvement a gagné la quasi-totalité des lycéens de Saint-Exupéry, qui donnaient de la voix dès l'ouverture des grilles. Le cri de révolte était toujours le même : « Non au CPE ». Un Contrat première embauche qui a pris une tout autre signification que celle entendue par le gouvernement : « CPE : Chômage, Précarité, Exclusion », pouvait-on lire sur une affiche.Talkie-walkie, écharpe bariolée en guise de signe de reconnaissance : une quinzaine de lycéens a assuré la logistique de l'action. Sans manquer, en amont, de veiller à la lisibilité de la contestation : « D'une centaine hier, on est passé à presque l'ensemble de l'établissement. Nous avons multiplié les interventions auprès de nos camarades afin de les sensibiliser aux dangers du CPE. Certains n'avaient qu'une idée vague de ce contrat », expliquait posément Séverine, chef de file du mouvement. Avec ses camarades, la jeune fille a mené, tôt en matinée, ses camarades sur le chemin... de Jean-Macé. afin de gonfler les effectifs. Un coup dans l'eau, « La plupart des élèves étant déjà en salle de classe ». Malgré cet échec, le moral des troupes n'était pas entamé. Sous le crachin, la vague de contestataires empruntait la rue Saint-Exupéry. Le tout sous l'étroite surveillance des forces de police. Une présence rassurante au lendemain des débordements qui ont secoué la capitale : « Il s'agit avant tout de dissuader les fauteurs de trouble qui pourraient infiltrer les rangs », précisait Estelle Porqueddu, présidente FCPE de Florange.

En quête d'interlocuteurs, les "manifestants" ont mis le cap sur l'hôtel de Ville. Et c'est bien la casquette de député, autant que celle de maire de Michel Liebgott, qui intéressait les étudiants. Une heure durant, l'homme politique s'est entretenu avec une délégation lycéenne. Et a pris le pouls de leur colère : « Honte » pour les uns, « décision arbitraire » pour les autres, le tour de table s'est avéré riche en enseignements : « Ce texte est passé sans concertation ni négociation. Le gouvernement a privilégié la voie de l'ordonnance et du vote bloqué, une méthode scandaleuse », s'indignait Michel Liebgott. La délégation, pour sa part, rappelait les motifs du malaise. Un mal-être qui ne tient pas, hélas, qu'à la mise en place du CPE : « Déjà en venant d'un lycée de ZEP, on est mal vu par les employeurs. Ensuite, on va certainement souffrir de la mauvaise image véhiculée par Fameck. Notre situation est déjà assez précaire, ça n'était pas la peine d'en rajouter ».

 

 

 

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24 mars 2006 5 24 /03 /mars /2006 14:20

Vendredi matin à 10h30, dans la salle des délibérations du Conseil Municipal de Fameck, Michel Liebgott a reçu une délégation composée d'une quinzaine d'élèves grévistes du lycée Saint Exupéry. Après une introduction du Député retraçant la genèse du droit du travail en France, un dialogue nourri et fructueux s'est engagé entre le parlementaire et les lycéens. Ces derniers se sont dits satisfaits de la mobilisation au sein leur établissement pour s'opposer au CPE dont ils craignent nombre de méfaits. Ils ont dit vouloir un mouvement constructif, mené pacifiquement, avec le souci d'éviter tout dérapage. Selon eux, des incidents seraient particulièrement contre-productifs pour la bonne compréhension de leurs revendications auprès d’une opinion publique, qui leur est aujourd’hui favorable. Bref, beaucoup d’engagement mais aussi de responsabilité dans leurs propos !

 

 

 

 

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22 mars 2006 3 22 /03 /mars /2006 10:53

 
Extraits du Républicain Lorrain du 18 mars 2006

Comme à son habitude, Géo Caselli, président des donneurs de sang avait invité du beau monde pour l'assemblée générale de son association. Outre Michel Liebgott, député, Jacky Aliventi, conseiller général, Lucien Piovano, 1er adjoint à la ville d'Audun-le-Tiche, des représentants des communes de Russange et Rédange et des associations jumelles. Une minute de silence était demandée en la mémoire des donneurs et amis disparus et plus particulièrement pour Lucien Schaefer, maire de la commune. L'association des donneurs de sang d'Audun-le-Tiche, Russange et Rédange organise cinq demi-journées de collecte de sang par an, le mercredi de 14 h 15 à 19 h. Ce changement dans les horaires a permis de renforcer le nombre de donneurs mais la moyenne par rapport à la population reste toujours sous la moyenne nationale. L'objectif du président est de la dépasser. 21 nouveaux donneurs sont venus, l'exercice précédent, gonfler les effectifs dont, et c'est une première, 10 jeunes de 18 ans: "Souhaitons simplement qu'ils reviennent à nos prochaines collectes". 323 donneurs se sont présentés et 42 ont été ajournés pour un total de 281 poches de sang. Ces résultats apportaient beaucoup de satisfaction mais le président y mettait un petit frein: "Sachez quand même qu'il faut 300 poches de sang par jour aux hôpitaux lorrains pour subvenir à leurs besoins. Cela est énorme comparé à nos résultats". La formule "que nul ne meurt faute de sang" semble bien difficile à appliquer. Le rapport d'activités faisait état du fonctionnement de la section: permanences, réunions, activités du président, les donneurs de sang se battent contre une montagne pour améliorer leurs collectes, celle de la non mobilisation des gens.

Au chapitre des récompenses, comme chaque année l'association récompense ses fidèles serviteurs. Tina Bellet, Erika Tchorowski, Joseph Wasilewski et Monique Mazzagrilli figurent au palmarès de même que le président Géo Caselli. Tous ont reçu la médaille du bénévole méritant. Les prises de parole qui suivaient allaient dans le même sens. Si le Dr Aymard abordait le côté technique des collectes et leurs nécessités, les autres intervenants félicitaient l'association locale pour son travail mais aussi pour l'obstination mise dans sa recherche de nouveaux donneurs. Une obstination qui, cette année a donné de bons résultats. Souhaitons que ces efforts puissent perdurer et surtout s'améliorer encore.

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22 mars 2006 3 22 /03 /mars /2006 09:14

Intervention de Michel LIEBGOTT lors de l'examen du projet de loi visant à réformer les minima sociaux le 23 février 2006

Madame la ministre, monsieur le rapporteur, si j'ai bien compris, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Pour ce qui nous concerne, nous n'avons guère évolué depuis la première lecture : nous continuons de constater le délitement du code du travail, toujours plus favorable aux entreprises. À force d'ajouts législatifs successifs, c'est une véritable usine à gaz que vous construisez. La Cour des comptes a ainsi montré dans son rapport déposé hier que la prime pour l'emploi était un dispositif inefficace, incompréhensible, mal ciblé, du fait des modifications voulues par l'actuel Premier ministre. En outre, hier, un conseil de prud'hommes a condamné une entreprise pour avoir abusé du contrat nouvelles embauches, ce qui ne nous surprend en rien car il est bien certain que son caractère aléatoire va multiplier les contentieux. Vous prétendez que le texte a été amélioré, nous considérons au contraire que ses aspects négatifs ont été aggravés. Après l'échec patent du RMA, vous avez cru devoir rebondir, en imposant un nouveau dispositif qui permettra à certains allocataires de rentrer dans l'entreprise, par le biais de CNE ou de CPE. Mais en instaurant une période d'essai de deux ans, qui pourra être interrompue n'importe quand sans motif, vous créez une situation particulière pour le RMIste : il travaillera dans une entreprise, sans limitation de temps, tout en restant RMIste pendant une durée indéterminée. Vous mettez ainsi en place une poche d'exclusion pour les personnes allocataires du RMI, qui ont pourtant vocation à sortir le plus rapidement possible de ce statut. Nous savons d'ailleurs qu'au-delà de six mois de présence dans un dispositif de solidarité, il est de plus en plus difficile de trouver un emploi. Nous sommes également en total désaccord avec les contrats de transition professionnelle. On aurait pu espérer que ce dispositif soit pertinent pour ceux qui n'ont pas acquis de droits suffisants pour être indemnisés par l'assurance-chômage. Mais vous n'avez pas engagé de concertation avec l'UNEDIC, pas plus sur ce point que sur l'ensemble du projet de loi et sur vos autres projets relatifs au travail. Or, avec un déficit cumulé de 13,45 milliards d'euros, il est très vraisemblable qu'elle refuse votre diktat (...).

Toute l'intervention de Michel LIEBGOTT sur le site de l'Assemblée Nationale:

http://www.assemblee-nationale.fr/12/cri/2005-2006/20060150.asp 

 

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22 mars 2006 3 22 /03 /mars /2006 09:00

Intervention de Michel LIEBGOTT - Jeudi 16 mars 2006 - Examen de la proposition de loi déposée par le Groupe Communistes et Républicains sur la gestion prévisionnelle des départs en retraite et l'emploi des jeunes

Cette proposition de loi colle non seulement à l'actualité, mais aussi à la réalité. Il a été fait référence aux pays voisins, mais il n'est pas besoin d'aller aussi loin, ni de revenir à 1981 : sous un autre gouvernement, nous avons créé deux millions d'emplois. Les chiffres sont incontestables : le nombre de chômeurs de moins de 26 ans est passé de 586 000 en juin 1997, à 388 000, en juin 2002, soit une diminution de près de 35 % en 5 ans. Nous sommes depuis remontés à 415 000 malgré les évolutions démographiques. Il vous resterait un an pour rattraper ce dérapage si vos mesures ne s'inscrivaient pas plutôt dans une compétition ultralibérale en vue de la prochaine élection présidentielle. Depuis 2002, 25 000 emplois ont été détruits et on dénombre 80 000 chômeurs supplémentaires - chacun sait que les récentes baisses ne sont dues qu'à des radiations administratives ! Pour des raisons idéologiques vous aviez même supprimé les emplois aidés que vous avez depuis recréés par bon sens. Si l'apprentissage aurait pu vous sauver, les résultats ne sont pas à la hauteur de vos ambitions : seuls 167 562 contrats d'apprentissage ont été signés contre les 250 000 prévus, et 58 797 contrats de professionnalisation au lieu des 180 000 budgétés. De tels chiffres devraient nous inciter à aller dans le sens de cette proposition de loi, et non dans le vôtre : le mur ! J'ajoute que le nombre de RMISTES ne cesse de progresser : plus 10 % en 2004, plus 4,7 % cette année, et plus 21.2 % en 5 ans. Et la situation des chômeurs n'est pas meilleure : nous venons de voter un texte sur le retour à l'emploi, qui vise à cumuler minima sociaux et petit emploi pour survivre - voilà qui n'est pas notre modèle de société ! Il est vrai que le taux de chômage des jeunes est plus élevé en France que dans les autres pays européens, seules la Grèce, l'Italie, la Pologne et la Slovaquie faisant pire que nous, mais il faudrait d'abord stimuler la croissance, facteur d'emploi pour tous. Même dans les facultés, les jeunes s'inquiètent ! C'est dire si nous nous opposons au CPE, que vous avez fait passer à la hussarde, ce qui est votre marque de fabrique : on utilise le 49.3, on ne débat plus, on ne négocie plus, on n'écoute plus les gens ! Des compromis sont possibles dans toutes les sociétés, mais cela n'entre visiblement pas dans votre philosophie. Or, les jeunes sont aujourd'hui confrontés à de nombreuses difficultés, et se voient proposer des stages, qui remplacent de plus en plus de vrais emplois. Plus grave encore, ils ne peuvent s'installer dans la vie, payer la caution d'un logement ni un loyer par exemple. La bonne solution est donc bien le CDI pour leur permettre de s'insérer dans la société, et pas seulement dans l'entreprise. C'est pourquoi, en harmonie avec les députés communistes, nous proposons le contrat sécurité formation. Nous suggérons que la formation soit financée pour les moins qualifiés et que les cotisations de chômage soient calculées en fonction de la durée des contrats, pour que le CDI redevienne le contrat normal à l'embauche, alors qu'apparemment, vous voulez le réduire à la portion congrue pour n'avoir plus que des emplois précaires. Cette proposition est aussi pertinente dans le contexte démographique actuel. La population active vieillit, et remplacer les seniors qui partent en masse nécessite des mesures d'urgence. Plutôt que parler d'immigration choisie, commençons par intégrer nos enfants dans la société et l'entreprise. En 2010, les moins de 20 ans seront moins nombreux que les plus de 60 ans ; dans les dix ans à venir, le nombre des actifs de moins de 25 ans baissera de 10%, tandis que celui des actifs de plus de 55 ans augmentera de 35 %. L'âge moyen d'un actif est aujourd'hui de 41 ans, alors qu'il était de 38,1 ans il y a dix ans.

Toute l'intervention de Michel LIEBGOTT sur le site de l'Assemblée Nationale:

http://www.assemblee-nationale.fr/12/cra/2005-2006/173.asp#P40_366

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1 mars 2006 3 01 /03 /mars /2006 00:00

ARCELOR - MITTAL : Question d'actualité posée par Michel LIEBGOTT lors de la séance des questions au Gouvernement le 1er Février, 4 jours après l'annonce de l'OPE hostile.

Monsieur le Premier ministre, je vous ai regardé attentivement hier soir à la télévision. Vous avez parlé en particulier de la sidérurgie. A l'instant, Laurent Fabius vient de vous demander de répondre à la représentation nationale, aux députés lorrains, inquiets pour l'avenir de ce secteur stratégique pour notre pays. Je souhaite que votre réponse soit à la hauteur de l'enjeu.Nous vous avons d'ailleurs souvent interrogé ces dernières années sur les restructurations, et malheureusement avons obtenu toujours la même réponse : on ne peut pas influencer les orientations des grands groupes. Arcelor, aujourd'hui victime potentielle, a fermé un certain nombre de sites dans le Nord depuis 2002, et 1 500 emplois vont disparaître dans la vallée de la Fensch.

 

 

Aujourd'hui, Monsieur le Premier ministre, vous êtes pris à votre propre piège du non-interventionnisme et du tout-libéral ! Totalement absente du capital d'Arcelor, la France se tourne vers le Luxembourg et la région wallonne, qui, bien que de taille plus modeste, détiennent, eux, des actions. Le gouvernement luxembourgeois a du reste lancé un projet d'un milliard d'euros sur la frontière. Mais du côté français, rien ! L'État est incapable de mettre un centime ! C'est pourtant bien en France que les communes concernées ont perdu un tiers, voire la moitié de leur population.

 

 

En juillet dernier, le ministre de l'industrie ironisait sur ceux qui brandissent fourches et faucilles... et aujourd'hui vous vous étonnez de l'offensive de Mittal Steel ! Les populations et les salariés s'interrogent : quand le Gouvernement va-t-il redécouvrir les vertus d'une véritable politique industrielle ? Comme l'a dit Lionel Jospin, ce n'est pas parce que l'on ne peut pas tout que l'on ne peut rien ! Or, vous, apparemment, vous ne pouvez rien !

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