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3 avril 2008 4 03 /04 /avril /2008 10:18

Communiqué du Bureau National du Parti Socialiste auquel j'ai participé ce Mardi 1er Avril

"Face aux parlementaires français, Lakshmi Mittal avait pris des engagements clairs en juin 2006 sur l’avenir du site de Gandrange : « Mittal Steel mesure l’importance que la Lorraine attache à l’industrie sidérurgique. Aucune suppression d’emplois n’aura lieu en Lorraine. Le groupe continuera à investir dans la recherche et le développement. ». En réponse à l’annonce par ArcelorMittal de la fermeture partielle du site de Gandrange et au licenciement boursier de 600 ouvriers, le Président de la République avait promis en février 2008 que le site et l’ensemble des emplois resteraient en France, quitte à ce que l’État se substitue au groupe en prenant à sa charge certains investissements.
À la veille de l’annonce par ArcelorMittal du maintien du plan de restructuration, le Parti socialiste exige du Président de la République et de son gouvernement qu’ils tiennent leurs promesses de maintien intégral de l’emploi sur le site de Gandrange d’une part, de renforcement des capacités industrielles du pays d’autre part.
Le Parti socialiste engage le gouvernement à faire preuve de davantage de fermeté à l’égard d’un groupe qui souhaite fermer une usine uniquement pour accroître la rémunération de ses actionnaires, alors même qu’il dégage des bénéfices colossaux (7,5 milliards d’euros en 2007).
Le Parti socialiste s’associe à la demande des salariés d’un moratoire pour stopper le démantèlement de l’usine. Tout doit être entrepris pour l’adoption d’un plan industriel alternatif qui stabilise le site au sein du groupe, l’emploi et l’activité."
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2 avril 2008 3 02 /04 /avril /2008 16:25
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1 avril 2008 2 01 /04 /avril /2008 17:01

C'est la consternation en Moselle. Les promesses de soutien de Nicolas Sarkozy faites début février et qui avaient remis du baume au coeur des ouvriers de l'usine Arcelor-Mittal n'auront finalement servi qu'à repousser l'échéance. Le groupe sidérurgique va en effet annoncer dans quelques jours la fermeture partielle du site de Gandrange et la suppression de 600 emplois.

 

 

Douche froide pour les syndicats de l'usine Arcelor-Mittal de Gandrange qui ont reçu samedi une convocation pour un comité d'entreprise le 4 avril prochain. A l'ordre du jour, l'annonce de la fermeture partielle du site par le groupe indien alors qu'ils s'apprêtaient à présenter un contre-projet. "La décision était pliée de puis longtemps", s'est indigné sur France Inter Edouard Martin, représentant de la CFDT. "La direction de Mittal préfère mourir plutôt que de perdre la face en faisant marche arrière", poursuit-il, amer. Le plan, dont la direction du groupe sidérurgique n'a pas confirmé la présentation, avait été exposé mi-janvier. La restructuration envisagée prévoit la fermeture de l'aciérie électrique et du train à billettes. Concrètement, ce sont 595 emplois sur les 1108 actuellement sur le site qui disparaîtraient d'ici à 2009. L'émotion suscitée par cette annonce avait conduit Nicolas Sarkozy, au lendemain de son mariage avec Carla Bruni, à faire le déplacement en Lorraine, le 4 février. Là, au milieu des ouvriers de l'usine, à la surprise générale, il avait assuré que l'Etat était prêt à intervenir pour sauver l'usine. "Vous n'êtes pas seuls. On ne vous laissera pas tomber. Parce qu'un pays qui n'a plus d'usines est un pays qui n'a plus d'économie", avait assuré le chef de l'Etat. Mieux, le président de la République avait expliqué qu'il préférait financer la modernisation du site plutôt que le chômage des ouvriers sur le carreau. "Qui que ce soit qui soit propriétaire de l'usine, on est prêt à prendre à notre charge tout ou partie de l'investissement de modernisation", avait-il affirmé. Une déclaration qui, si elle avait rassuré les ouvriers, avait suscité un certain scepticisme dans la classe politique jusqu'à la ministre de l'Economie Christine Lagarde, peu friande de ce type d'interventionnisme. Le groupe Arcelor-Mittal, pris au dépourvu, avait toutefois gelé sa décision et le patron du groupe, le multi-milliardaire indien Lakshmi Mittal avait rencontré Nicolas Sarkozy. Apparemment sans résultat concret. Aujourd'hui, les syndicats entendent bien demander des comptes à Nicolas Sarkozy.

Tout comme les élus locaux. Le député PS de Moselle Michel Liebgott dénonce une duperie. "On nous a mené en bateau, que ce soit le groupe Arcelor-Mittal ou le président de la République", a-t-il dit au micro de France Inter.

Article publié dans le Journal du Dimanche du 31 mars

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31 mars 2008 1 31 /03 /mars /2008 16:07

Monsieur l’Inspecteur d’Académie

Je me permets de revenir vers vous au sujet de la demande formulée par les délégués des parents d’élèves des écoles J.J. WELTER de Rédange.
Dès la rentrée des classes 2007/2008 quasiment, un poste supplémentaire avait été demandé au regard de l’effectif de la classe de maternelle : 33 enfants. A la fin du mois de septembre et régulièrement depuis cette date, les parents étaient en relation avec Monsieur BEN, votre Adjoint. Ce dernier leur a confirmé, au mois de décembre dernier,  la possibilité de débloquer un poste tous les matins, à la condition qu’un projet soit présenté et le projet fut envoyé le même mois. A ce jour, aucune réponse ne leur est donnée car le Rectorat ne se serait pas prononcé
.
De plus en plus, les parents portent un intérêt à la scolarité de leur enfant et il n’y a rien d’étonnant à constater qu’ils s’interrogent sur la construction des apprentissages à l’école. Aussi, je comprends et partage, tout à fait, leurs inquiétudes dans l’affaire concernée d’autant que nous savons tous que l’école maternelle favorise l’épanouissement relationnel et intellectuel des enfants qu’elle accueille. C’est un lieu de socialisation et d’éducation complémentaire à la cellule familiale. Et c’est là aussi, bien souvent, que se joue l’avenir scolaire de l’enfant
.
Une classe de maternelle avec 33 enfants ne permet pas l’apprentissage de certaines activités, dans les meilleures conditions et, notamment, en grande section où débute le cycle des apprentissages fondamentaux, pour se terminer en CE1.
Il ne faudrait pas que derrière la volonté affiché de la « réussite pour tous », s’oppose des restrictions de moyens qui peuvent rompre le « principe d’égalité des chances ». En effet, comment croire qu’avec une classe de plus de 30 enfants, regroupant 3 niveaux, les chances sont les mêmes que dans une école maternelle avec 2 enseignants pour le même nombre
.
J’espère que mon courrier vous aura convaincu du bien fondé d’apporter des moyens supplémentaires à l’école maternelle de Rédange, en ouvrant une classe. Vous répondrez ainsi à la demande des parents et surtout au bien être des enfants. Dans l’attente de vous lire, je vous prie d’agréer, Monsieur l’Inspecteur d’Académie, l’assurance de ma considération très distinguée.

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28 mars 2008 5 28 /03 /mars /2008 10:32

Ce matin dans le Républicain Lorrain (Pages régionales), un article évoque l'inquiétude des élus et des associations du bassin nord. Il y est fait notamment référence à mon intervention auprès de Monsieur le Préfet pour obtenir rapidement des informations à propos de la hauteur d'eau dans la Fensch suite au débordement des eaux de la galerie de la Paix. En voici la copie:  

exhaure-copie-2.JPG
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19 mars 2008 3 19 /03 /mars /2008 14:26

gandrange-usine.jpgMonsieur le Président de la République,

Lors de votre venue à l’usine ArcelorMittal de Gandrange le 4 février dernier, vous avez dit vouloir tout mettre en œuvre pour sauver cette entité industrielle sidérurgique ô combien importante tant pour le bassin de vie Nord Mosellan, que pour notre Pays. 
Dans le cadre de l’accord de méthode entre les organisations professionnelles et la direction du leader mondial de l’acier, le cabinet SYNDEX, mandaté par le Comité d’Entreprise, vient de transmettre son expertise. Celle-ci doit donner lieu à un avis de la direction le 04 avril prochain.
Lors d’une réunion à laquelle j’ai participé, les partenaires sociaux (CFDT et CFE/CGC) ont rendu public les éléments principaux de ce rapport, qui établi un diagnostic précis de la situation de l’usine et qui dessine des pistes très intéressantes pour son redressement autour de 4 grands axes.
S’agissant de la Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences, le rapport souligne les coûts techniques induits des retards d’embauches, mais aussi l’emploi abusif de contrats intérimaires (plus de 1000 par an), par la direction locale du site. Ainsi, à partir de 2005, c’est-à-dire au paroxysme de la transition générationnelle, tous les indicateurs techniques se sont effondrés. Pour lever ce problème, il faut faire de Gandrange une usine « entreprenante » pour reprendre les termes du rapport, il faut investir dans la formation, dans le tutorat, pour un coût estimé de l’ordre de 3.5 à 5 millions d’euros. 
A propos du positionnement commercial de l’usine, là encore les erreurs stratégiques se sont accumulées. En diversifiant de manière trop importante les productions, la direction a mis en difficulté le site. Selon SYNDEX, il est donc impératif de recentrer la production autour de 4 métiers et non plus 7, de répartir de manière égale les débouchés entre les aciers hauts et bas de gamme. Les frais fixes pourront dès lors être couverts par les aciers béton, dont la demande continue de progresser, et les bénéfices, que le cabinet d’études estime possibles à l’échéance 2010, seraient assurés par la vente des produits à haute valeur ajoutée.
Si les aspects humains et commerciaux ont donné lieu à des choix malvenus dans le contexte économique et social, les investissements dans l’appareil de production, contrairement aux affirmations de la direction qui évoque 60 millions d’euros d’investissement depuis le rachat de l’usine à Usinor en 1999, ont été tout autant insuffisants. En effet, le cabinet SYNDEX confirme ce qu’ont évoqué les syndicats depuis l’annonce de la fermeture, en l’espèce qu’il n’y a pas eu d’investissement réel, mais uniquement de l’entretien, voire de la réparation. La remise à niveau des outils a été évaluée à 40 millions d’euros pour la partie aciérie et à 5.5 millions d’euros pour le Train à Billettes (TAB).
Enfin, la question du management, au niveau international comme au niveau local, explique également les difficultés du site. La pression des actionnaires, les mesures de remplacement limité à 1 personne sur 2, imposées par la direction européenne des produits plats et les errements de la direction locale, ont causé de graves disfonctionnements dans la chaîne managériale du site de Gandrange.
Pour résumer, le rapport déposé à la Direction indique très clairement un empilement d’erreurs stratégiques. Il démontre également très bien que le coût de la fermeture de l’usine serait plus important que celui de sa pérennisation. Les coûts des transferts des productions et du plan social sont estimés à 55 millions d’euros alors que ceux du scénario de maintien retenu n’en représentent que 50 (5 millions d’euros pour la formation, 45 millions d’euros pour moderniser l’appareil de production).
En termes de débouchés, là encore tout concorde pour dire que le marché UE25 est porteur, à condition de produire également des aciers bétons. L’analyse sur les dernières années montre effectivement une progression des productions de l’ordre 2 millions de tonnes par an, alors que Gandrange n’en produirait qu’un peu plus d’un million de tonnes. En conséquence de quoi, ainsi que j’ai pu le dire à Gandrange, il y a de la place pour le maintien de Gandrange et pour la construction d’une nouvelle unité de laminage à Duisbourg en Allemagne, dont la décision de création n’est d’ailleurs pas encore prise.
Les salariés et les organisations syndicales, sur la base de cette étude, pensent que Lakshmi MITTAL n’est par en possession de tous les éléments pour bien comprendre la situation de l’usine de Gandrange, pour bien sérier son intérêt stratégique et les bénéfices qu’elle pourrait dégager à très court terme. Ils sont même persuadés que le Directeur des Produits Plats Europe, en l’espèce Gerhard RENTZ, tente de renforcer les unités de production allemandes au détriment de Gandrange, ce qui est tout à fait inacceptable.
Monsieur le Président de la République, ce qui distingue notre Pays de ses voisins européens, c’est l’absence totale de politique industrielle. Au Grand Duché de Luxembourg, en Belgique, ou en Allemagne, l’Etat et les collectivités publiques se sont largement investis pour pérenniser leurs entités de production sidérurgique, voire pour en rouvrir (haut-fourneau de Liège). Pour continuer d’exister sur la scène industrielle internationale, L’Etat français doit, plus que jamais, s’inscrire dans la même logique que ces pays. Il doit peser sur la décision qui doit être prise par ArcelorMittal d’ici le 4 avril, pour pérenniser Gandrange à l’intérieur du périmètre du groupe ArcelorMittal et n’envisager la reprise qu’en cas d’échec de toutes les négociations.
Dans l’attente de votre réponse, je vous prie de croire, Monsieur le Président de la République, en l’expression de ma très haute considération.

Michel LIEBGOTT

 

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14 mars 2008 5 14 /03 /mars /2008 11:43

autoecole.jpgJe soutiens depuis plusieurs semaines les revendications portées par les moniteurs d’auto-écoles demandant notamment une augmentation du nombre d’Inspecteurs (plusieurs questions écrites ont été déposées en ce sens depuis 2006). Hier, à Paris, Lyon, Bordeaux, Rennes, Nancy, Toulouse, Marseille et Le Mans, ils ont protesté contre les délais pour passer le permis. Entre 3 et 4 mois, selon les régions, avant de pouvoir retenter sa chance après un échec. Officiellement, le délai légal d’attente est de seulement 15 jours. Pour les apprentis conducteurs, l’échec fait exploser le budget. De 500 à 800 euros en plus pour continuer à prendre des leçons de conduite, sans compter le forfait initial. Un stress supplémentaires pour les candidats et une atteinte importante à leur pouvoir d’achat, alors que l’automobile demeure un passeport essentiel pour entrer dans la vie professionnelle. Il appartient désormais et plus que jamais à l’Etat de trouver une solution à ce problème.

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20 février 2008 3 20 /02 /février /2008 12:10

Quelques  photos de la rencontre entre Ségolène ROYAL et les organisations syndicales de l'usine ArcelorMittal de Gandrange, pour évoquer, avec eux, le contre-projet indudstriel.

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10 février 2008 7 10 /02 /février /2008 17:25
S6003027.JPGHier devant le portier Ouest de l'usine de Gandrange, les élus des vallées de l'Orne, de la Fensch et de l'ensemble du bassin ferrifère et sidérurgique, la population locale, les miltants syndicaux (de toutes les organisations, voire même de l'étranger) sont venus nombreux hier pour dénoncer la plan funeste de Lakshmi  MITTAL. Dans une ambiance populaire et festive, les représentants syndicaux de la CFE/CGC, de la CFDT et de la CGT, ont pris la parole. Tous ont insisté sur l'importance de poursuivre le combat pour prouver à la direction d'ArcelorMittal la viablité de ce site.   
Michel LIEBGOTT

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7 février 2008 4 07 /02 /février /2008 16:00

S6002926.JPGSyndicats et élus ont dénoncé mercredi en Moselle une "cacophonie" de l'Etat sur une éventuelle intervention publique à l'usine ArcelorMittal de Gandrange (Moselle), où 595 emplois sont menacés. "On est en train de se moquer de nous", a déclaré Edouard Martin, délégué CFDT au comité européen d'entreprise (CEE) du groupe sidérurgique, après que la ministre de l'Economie, Christine Lagarde, eut déclaré mardi que Nicolas Sarkozy ne s'apprêtait pas, selon elle, à "subventionner" ArcelorMittal. "Que le président et le gouvernement accordent leurs violons et qu'ils parlent d'une seule voix (...) plutôt que d'essayer de se refaire une santé sur le dos et le désarroi des salariés" de l'aciérie mosellane, a ajouté M. Martin, interrogé par France 3. "Mme Lagarde a déclaré qu'+on ne pouvait (pas) forcer un industriel à investir+. Sauf que (M.) Sarkozy a bien dit que l'Etat allait investir dans Gandrange, avec ou sans Mittal". Le président de la République a assuré lundi à Gandrange que "l'Etat était prêt à prendre en charge tout ou partie des investissements nécessaires" pour maintenir en activité l'aciérie d'ArcelorMittal. "Le président a pris des engagements devant le pays", a estimé Xavier Phan Dinh, délégué CGT au CEE. "Il doit maintenant les respecter, il en va de sa crédibilité". Le responsable CGT a également indiqué que son syndicat n'était pas opposé à une éventuelle reprise du site de Gandrange alors que, selon une source proche du dossier, la CFDT souhaiterait rester dans le giron d'ArcelorMittal. "Il est évident que M. Sarkozy et Mme Largarde ne sont pas en phase", a estimé Pierre-Claude Sutter, délégué CFE-CGC au comité d'établissement de Gandrange. "Si Mme Lagarde rappelle les règles du jeu, M. Sarkozy a lui lancé un pavé dans la mare en constatant les limites du capitalisme financier. En observant sa logique propre, ce système en vient à détruire des emplois industriels potentiellement viables", a-t-il dit.
Michel Liebgott, député (PS) de Moselle, a demandé dans un communiqué qu'"il soit mis fin à cette cacophonie". "Comment fera le chef de l'Etat pour aider (financièrement) ArcelorMittal alors qu'il a lui-même reconnu que les caisses de l'Etat étaient vides?", a ironisé le parlementaire. La députée européenne (UDF-ADLE) Nathalie Griesbeck, qui compte Gandrange dans sa circonscription, a souhaité que, "face à la cacophonie ambiante, (...) le chef de l'Etat précise rapidement et concrètement ses intentions". Le président (PS) du Conseil régional, Jean-Pierre Masseret, a prévenu que "les engagements présidentiels devront être tenus" après les élections municipales de mars. Le président (UMP) du Conseil général de la Moselle, Philippe Leroy, a indiqué qu'il aura "dans les prochaines semaines, une rencontre avec l'état-major d'ArcelorMittal au Sénat, pour nous assurer que les discussions sont bien ouvertes".
© 2008 AFP

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