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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 17:04
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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 09:16

dons-du-sang.png

 

Un effectif stable, une gestion saine, mais cela ne suffit pas : les poches de sang sont en nette baisse. Le président de l’association du Haut-Plateau et du canton de Fontoy appelle les jeunes pour sauver des vies ! Un effectif stable, une gestion saine, mais cela ne suffit pas, les poches de sang sont en nette baisse, le président en appelle à la jeunesse, pour sauver des vies !

L’Association des donneurs de sang bénévoles du Haut-Plateau et du canton de Fontoy, sous la présidence de Gérard Goessen, a tenu sa 48e assemblée générale, à la salle des fêtes de Bure. La rencontre s’est déroulée en présence d’Arnold Perrin, le représentant de l’Union départementale, Hélène Staermann-Luc, la représentante de l’Établissement français du sang (EFS), Michel Liebgott, le député, ainsi que les représentants des communes avoisinantes.

Le président, dans son rapport moral, a confié son vœu le plus cher : « que l’EFS ne soit jamais en manque de ce liquide précieux et irremplaçable. Car notre comité travaille sans relâche. Il nous faut solliciter, motiver, et sensibiliser les jeunes générations aux besoins croissants de sang pour les malades et accidentés qui nous entourent. Afin que cette chaîne de solidarité et de bénévolat continue encore longtemps son chemin. C’est dans ce but que les anciens donneurs atteints par la limite d’âge ont encore une mission à accomplir, faire en sorte que la relève soit assurée ».

295 poches de sang pour 8 collectes

Dans son rapport d’activité, la secrétaire Marie-Claire L’Hote rappelle que le comité s’est réuni trois fois au cours de l’année et a participé aux différentes manifestations de la Renaissance fenschoise, ainsi qu’aux manifestations patriotiques et l’organisation du bal de carnaval, entre autres.

« Avec 295 poches de sang pour 8 collectes et 8 nouveaux donneurs, nous sommes en baisse de poches de sang. Pourquoi ? Les collectes au lycée Saint-André d’Ottange n’ont pas été renouvelées depuis deux ans suite à une mauvaise gestion du secrétariat de transfusion. Le plasma étant abandonné, certains donneurs sont frustrés de ne plus pouvoir le faire. Cela représente une centaine de poches par an en moins ! » La secrétaire a donc demandé aux responsables de l’EFS de bien vouloir rétablir les collectes au sein de l’établissement scolaire. « Car vous savez tous que ce produit n’existe pas artificiellement ! »

Le trésorier a montré une gestion saine et positive de l’association. Un constat approuvé par l’assemblée et les réviseurs aux comptes.

Pour le Dr Hélène Staerman, de l’EFS, « la baisse de régime des collectes de sang atteint une tournure préoccupante ». Autre motif d’inquiétude structurel : le manque de nouveaux donneurs, moins attirés que par le passé. D’autant que les besoins en sang sont en augmentation de 2 à 3 % par an. « Je ferai le maximum auprès des lycées du secteur et celui d’Algrange en particulier puisque j’y enseigne, et je peux vous garantir aujourd’hui la participation de certains lycéens aux prochaines collectes de sang », annonce le Dr Hélène Staerman-Luc. Le don de sang est indispensable pour permettre aux équipes médicales de sauver des vies… (RL en date du 02/10/2013)

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26 septembre 2013 4 26 /09 /septembre /2013 09:45

moy-pte-fronton-2.png

La météo a gratifié d’un beau soleil la cérémonie d’inauguration de la devise républicaine sur le fronton de la mairie de Moyeuvre-Petite. Elus et habitants étaient nombreux pour partager ce moment. La météo du samedi 21 septembre a gratifié d’un beau soleil et d’une température agréable, la cérémonie d’inauguration de la Devise républicaine sur le fronton de la mairie de Moyeuvre-Petite, permettant aux élus invités et à la population de participer à une journée des plus agréable et conviviale puisque la cérémonie fut suivie d’un vin d’honneur et un barbecue offert par la municipalité. Cette devise rare dans le département fut officialisée en 1880 par la République. A cette époque,la terre mosellane connaissait l’annexion prussienne…Mais peu à peu les mairies de Moselle portent cette devise sur leur fronton.

Liberté, Egalité, Fraternité. Cette devise fut officialisée en 1880 par la République. À cette époque, la terre mosellane connaissait l’annexion prussienne… Mais peu à peu, les mairies de Moselle portent cette devise sur leur fronton.

Depuis samedi, c’est chose faite à Moyeuvre-Petite. Pour l’occasion, une grande cérémonie a été organisée.

Le maire, Christian Schweizer, a remercié les élus et nombreuses personnalités présentes : le sous-préfet, M. Etienne Stock ; M. Liebgott, député ; M. Todeschini et Mme Prinz, sénateurs ; M. Tirlicien, du conseil régional ; M. Corradi du conseil général ; M. Founier, président de la communauté de communes du Pays Orne Moselle ; les représentants des associations patriotiques ; le commandant du centre de secours ; mais aussi les représentants de la gendarmerie, de l’ONF, les enseignantes et le nouveau curé.

« La liberté est fragile »

Le maire a salué l’implication des associations présentes et ayant contribué à préparer l’événement, les donneurs de sang, les Renardeaux du Verlambo, les Costumés vénitiens, La Renaissance, mais aussi le personnel communal et les membres du conseil municipal, et bien sûr les villageois, dont le doyen.

Christian Schweizer s’est dit fier de mettre en valeur cette devise sur le fronton de la mairie : « Ce n’est ni un gadget, ni une décoration car aujourd’hui, cette devise trouve toute sa place dans une société où les valeurs s’estompent. La liberté est si difficile à conquérir, fragile et ô combien précieuse ! » Il a rappelé l’historique des mots définis dans la déclaration des Droits de l’Homme en 1789, précisant que si les droits sont revendiqués, il ne faut pas oublier les devoirs. « Malheureusement, l’individualisme est un mal de notre époque et apparaît comme un obstacle à la Fraternité. » Et de conclure : « Liberté, égalité, fraternité ! Vaste programme certes, mais sans utopie, nous serions à l’âge de pierre. La route est longue et semée d’embûches, les destinations difficiles à atteindre, mais le chemin est balisé. »

Le sous-préfet a dit « vouloir personnifier toute la richesse, le sens et la valeur de la devise républicaine, même si elle fait partie du siècle des Lumières. Plus de 220 ans ! Cependant, elle a éclairé près de dix générations de nos compatriotes, inspirant et guidant les responsables politiques, à tous les niveaux. Ces mots appartiennent à notre passé, mais ils sont inoxydables et seront toujours d’actualité dans un monde moderne où le libéralisme prend le pas, car notre planète est devenue un village où chacun se perçoit comme citoyen du monde. Le bien-vivre ensemble cimente l’humanité ; c’est l’intérêt général qui doit prévaloir. Dire ces mots, les afficher, c’est manifester notre appartenance à la République. »

En toute fraternité

Les enfants de l’école ont chanté La Marseillaise accompagnés par les musiciens de La Renaissance. Puis tout le monde a été invité à partager un vin d’honneur. De nombreux villageois en ont profité pour se retrouver autour de la table, la municipalité offrant le barbecue, et admirer les danses lorraines traditionnelles d’un groupe venu de Meurthe-et-Moselle. Le barbecue s’est terminé tard dans l’après-midi tant l’ambiance était à la fraternité… (Article RL en date 26/09/2013)

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 16:36

smartphone.pngArticle de PCINpact en date du 24/09/2013

Alors que le Royaume-Uni entend bloquer par défaut l'accès aux sites pornographiques afin de protéger ses enfants, la proposition du député Michel Liebgott peut paraître minime. Elle en demeure quoi qu’il en soit très sérieuse. « Comme un ordinateur, tout smartphone destiné à un adolescent devrait être muni d'un système de contrôle parental » clame-t-il ainsi dans une question parlementaire adressée ce matin à Fleur Pellerin, ministre déléguée à l’Économie numérique - et très semblable à celle de son collègue Hervé Féron. 

Au travers de cette question parlementaire, l'élu socialiste vilipende les solutions actuellement proposées aux parents, « peu nombreuses et rarement efficaces ». Il évoque notamment les options mises en place par certains opérateurs mobiles afin de bloquer les contenus inadaptés (pornographie, violence, sites de charme...). Problème : « le téléphone n'est plus protégé dès qu'il se connecte en Wi-Fi » regrette le député Liebgott. Force est de constater que SFR, Bouygues et Orange  avertissent d’ailleurs les parents de cette limite. 

Mais alors, que faire ? Le parlementaire ne s’aventure pas sur ce terrain glissant, se contentant de demander à Fleur Pellerin quelles sont « ses intentions sur ce sujet ». Si les opérateurs conseillent parfois aux parents de ne pas donner leur clé Wi-Fi, le problème demeure entier dès lors que les enfants / ados sortent de la maison. Il y a en effet de plus en plus d’Hotspots accessibles au public (certains commerces, lieux publics, etc.), bien souvent gratuitement. Nos voisins britanniques sont cependant à l’affut sur cette problématique, puisque les autorités veulent que les Hotspots Wi-Fi publics bloquent différents contenus interdits aux mineurs , dont ceux à caractère pornographique.

L’on notera au passage que ce sujet de préoccupation pour les parents conduit les entreprises à investir ce marché. Le « cockpit conso » proposé depuis peu par Virgin Mobile en est d’ailleurs une parfaite illustration. L’opérateur promet en effet aux parents un pilotage à distance du smartphone de leur progéniture, à condition que celui-ci fonctionne sous Android. Comme nous l'expliquions alors, ce contrôle parental permet ainsi de géolocaliser le mobile, de gérer les applications pouvant être exécutées (éventuellement en fonction de plages horaires), de bloquer les usages surtaxés, etc. À noter que des applications de types « contrôle parental » existent également pour les smartphones sous iOS ou Windows Phone8 .

Dans une réponse à une précédente question parlementaire datant de 2011, le ministre de l’Économie et des finances du précédent gouvernement expliquait au député UMP Patrice Calméjane que « les seules solutions pleinement efficaces sur téléphone mobile sont aujourd'hui de ne pas souscrire pour l'enfant mineur d'abonnement avec accès à Internet, ou encore de désactiver les navigateurs au sein des terminaux ». Il poursuivait en affirmant que même si des outils technologiques étaient à l’étude, « dans tous les cas, la protection des enfants dépend principalement des parents et des enseignants : les outils de contrôle parental ne peuvent pas se substituer à l'action de sensibilisation et de vigilance des parents et des éducateurs, qui sont centrales dans la protection de l'enfance à l'égard des contenus en ligne ».

Restera maintenant à voir quelle sera la position de la ministre déléguée à l’Économie numérique, déjà très prudente sur ce genre de sujets.

 

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 08:49

 

batigere-statue.png

L’art comme vecteur d’ouverture et d’engagement citoyen. La formule fonctionne depuis 1995 avec Batigère. Aux côtés de ses partenaires, le bailleur social a inauguré une sculpture réalisée par les ados du quartier de Rémelange. 

Ils se sont approchés timidement, en riant nerveusement. Pas vraiment à leur aise. Et puis le voile recouvrant la sculpture, installée depuis le mois d’avril à l’angle des rues de la petite Fin et de Colmar, s’est envolé. Révélant un personnage haut en couleur. Une pétillante reine de jeu d’échecs. Leur reine, façon pop. Les ciseaux ont refermé leur mâchoire sur le ruban bleu, blanc, rouge. Et là, en plein cœur du quartier de Rémelange, les yeux de ces ados ont commencé à briller.

Les auteurs de cette réalisation en mosaïques, ce sont eux. Des jeunes gens entre 14 et 17 ans, guidés dans leur pratique par l’artiste plasticienne Anne-Cécile Massey dans le cadre des ateliers jeunes de Batigère, en lien étroit avec la municipalité, l’AISF (l’Association d’intervention sociale de la Fensch), Rémelange Services et l’Atelier 131.

L’art dans la rue

Voici plus de dix-huit ans que ces structures travaillent main dans la main pour intégrer la pratique artistique à leur politique d’animation de quartier. Celle-ci comprend des actions de nettoyage, de remise en peinture de soubassements d’immeubles, des travaux de rénovation. « Toutes ces actions contribuent à améliorer le cadre de vie et créer du lien avec les habitants », synthétise Michel Ciesla, directeur général adjoint Batigère Sarel. Derrière la formule, des équipes mobilisées et des jeunes qui se sont volontiers laissé porter par ces projets fédérateurs. « On y a mis du cœur ! », s’exclament Farah et Ines. Les deux jeunes filles ont participé à la réalisation de la base de la sculpture faite de béton cellulaire pendant les vacances de la Toussaint. Au printemps, un second groupe s’est attelé au mosaïquage.

De ce formidable travail d’équipe est née une dynamique prompte au développement des échanges, à la découverte de l’autre. Les chantiers jeunes, menés par l’AISF, ont aussi cette vocation. « Mais le support artistique apporte une vraie valeur ajoutée , appuie Farela Debza, chef de service au club prévention de l’AISF. Ça démocratise l’art dans des zones parfois difficiles, où l’accès à la culture n’est pas toujours évident. »

La présidente de l’association acquiesce. Permettre à une tranche fragile de la population fameckoise de toucher du doigt une pratique artistique à des fins citoyennes, ça marche. « C’est une façon de leur faire prendre confiance, de régler certaines inhibitions », murmure la discrète Jeanine Neveux. Elle en est convaincue, le groupe est facteur d’ouverture et générateur de mieux-être.

Le début d’une histoire ?

« C’est une fierté de réaliser quelque chose pour notre ville, d’en parler autour de nous, à nos parents » , s’enthousiasme encore Ines. Son regard mordoré scintille. « Ces ateliers, ça crée un esprit de communauté. Vous devriez voir les mosaïques que l’on a faites cet été avec le club… ».

À l’image du visage de la Reine du quartier, celui du maire rayonne. « Cette sculpture a le sourire, c’est le plus important ! , lançait Michel Liebgott au moment de l’inauguration. Et o n ne va pas s’arrêter là… »

Parions que le « roi des jeux » aura bientôt toutes ses pièces. (RL en date du 24/09/2013)


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22 septembre 2013 7 22 /09 /septembre /2013 07:58

l-actuel-cist-a-hayange-rue-de-wendel-photo-rl.jpgLe Centre interentreprises de santé au travail (CIST) a émis le souhait de quitter ses locaux actuels, rue de Wendel à Hayange pour regrouper, sur un même site, des services médicaux et administratifs soit un effectif d’une quinzaine de personnes. La CAVF a proposé de céder au CIST un plateau de 450 m² situé au rez-de-chaussée du bâtiment relais "La Feltière", rue François-Mitterrand à Fameck. Les vieilles polémiques autour du devenir de l’ancien centre d’appels sont désormais balayées. « C’est une bonne nouvelle pour Fameck, un secteur où la médecine générale souffre », s’est félicité Michel Liebgott, député-maire de la ville.

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18 septembre 2013 3 18 /09 /septembre /2013 19:41
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18 septembre 2013 3 18 /09 /septembre /2013 08:20

24-fevrier-2012-a-florange-temps-de-campagne-temps-de-prome.jpgLa « loi Florange », qui arrive cet après-midi en débat à l’Assemblée nationale, porte désormais très mal son nom. Cette dénomination initiale de la loi « pour redonner des perspectives à l’économie réelle et à l’emploi industriel » est un double stigmate du combat des syndicats d’ArcelorMittal pour préserver les hauts fourneaux de Florange et d’une promesse du candidat Hollande.

C’était un 24 février 2012, à Florange. François Hollande s’exprime depuis le toit de l’estafette de la CFDT et lâche ce que les syndicalistes n’attendaient plus : « Quand une firme ne veut plus d’une unité de production, mais ne veut pas la céder, nous lui en ferons obligation pour qu’un repreneur puisse reprendre l’activité », ose le socialiste, porté par les applaudissements des métallurgistes et surfant sur des sondages le donnant vainqueur.

« Vidée de son contenu »

Hélas, on connaît la suite. Élu en mai, Hollande ne parvient pas à infléchir la position de Mittal malgré les menaces de loi permettant de récupérer les deux hauts fourneaux et l’arrivée d’un repreneur (Bernard Serin) au soutien de la croisade belliciste – mais vaine – d’Arnaud Montebourg. « Hollande a bien déposé un projet de loi avant même la présidentielle, mais la droite l’a retoqué avant tout débat. Ensuite, une des dispositions principales de cette loi a été reprise par la conférence sociale, en juillet 2012, ce qui explique également ce débat un peu tardif, je le reconnais », rappelle Michel Liebgott, le député PS de Fameck, qui défendra le texte cet après-midi.

Que reste-t-il de la promesse d’origine ? Son contenu a fondu comme neige au soleil. Au-delà du fait qu’elle ne s’applique pas à ArcelorMittal Florange en raison de la structure même de l’entreprise, l’obligation de céder l’usine a disparu. Sous la pression du Conseil constitutionnel pour atteinte à la propriété et la liberté d’entreprendre. Cette contrainte laisse la place à l’obligation de rechercher un repreneur pour les entreprises de plus de 1 000 salariés qui veulent fermer un établissement, dans un délai de trois mois. « S’il ne le fait pas, il peut se voir imposer une pénalité de vingt fois le Smic, mais ça représente quoi pour une multinationale ? Rien », peste Lionel Burriello (CGT, ArcelorMittal), qui juge que « le texte a été vidé de son contenu ».

Pour le Medef, ce projet qui rigidifie la vie des entreprises, tient du casus bell i anti-patrons, comme le rappelle Geoffroy Roux de Bézieux, son vice-président : « Cela va complètement effrayer les investisseurs internationaux. C’est d’une absurdité totale ».

Dans l’hémicycle, la droite – et peut-être une partie de la gauche communiste – aura d’ailleurs l’occasion de dire tout le mal qu’elle pense d’une initiative réglementaire qui a beaucoup perdu de sa radicalité. « J’ignore combien d’entreprise cela pourra concerner à l’avenir », s’interroge encore Lionel Burriello, « mais c’est peut-être le minimum qu’Hollande pouvait faire avant de revenir en Lorraine ». Michel Liebgott, lui, estime que le cas des Lejaby (Haute-Loire) ou celui de Pilpa (Aude) « aurait pu se régler plus rapidement, si une telle loi avait existé ». Compte tenu de la navette parlementaire Assemblée nationale–Sénat, elle pourrait être promulguée d’ici à la fin de l’année.

Alain MORVAN. (Rl 18/09/2013)

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16 septembre 2013 1 16 /09 /septembre /2013 09:22

EFIE.png

L’Efie (Entente franco italienne européenne) a fêté ses 25 ans d’existence. L’inauguration a eu lieu en présence de Joseph Staino, attaché consulaire à Metz, Salvatore Tabone, conseiller général des Italiens à l’étranger, et des représentants de la municipalité, accueillis par Joseph Audia, le président de l’Efie. Le secrétaire Claude Bancel a présenté une rétrospective de la vie associative, riche de nombreux repas dansants, de voyages, de fêtes de l’amitié et d’actions de solidarité.

Le lendemain, en soirée, un spectacle de danses a été présenté. Hip-hop et danses latines se sont succédé sur scène, en présence du député Michel Liebgott. Enfin, le dimanche, l’association a réuni près de 180 convives pour un repas dansant. La vie normale de l’association reprend son cours. (RL en date du 16/09/2013)

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 20:02
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