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14 mars 2013 4 14 /03 /mars /2013 08:54

regime local(1)Le projet de loi transcrivant l’accord sur l’emploi représente, avec la mise en place d’une complémentaire santé obligatoire pour tous les salariés, une menace pour le régime local d’assurance-maladie d’Alsace-Moselle, ont dénoncé, hier, ses représentants.

Lors d’une conférence de presse à Strasbourg, Daniel Lorthiois, président du régime local d’Alsace-Moselle, a réclamé un amendement au projet de loi transcrivant l’accord du 11 janvier signé par les partenaires sociaux, qui pose, selon lui, « un risque juridique réel en ce qui nous concerne ». À la faveur de la nouvelle loi, « certains pourraient en profiter pour lisser les choses en favorisant la disparition du régime loca l », a-t-il estimé.

« Le risque, si le projet de loi reste tel qu’il est, c’est que le régime local soit légal mais de moins en moins légitime, vis-à-vis de salariés qui se demanderaient pourquoi ils payeraient plus ici qu’ailleurs en France pour les mêmes prestations, par exemple », s’est, pour sa part, inquiété René Marbach, directeur général du régime local. L’accord signé le 11 janvier par le Medef et trois syndicats (CFDT, CFTC et CFE-CGC) prévoit la mise en place d’une complémentaire santé obligatoire qui offrirait des taux de remboursements supérieurs à ceux aujourd’hui pratiqués par le régime local d’Alsace et de Moselle. L’accord prévoit que le financement de cette complémentaire soit pris en charge par le salarié et l’employeur, alors que le régime local d’Alsace-Moselle est pour l’instant à la charge exclusive des salariés, tout en offrant une meilleure prise en charge que l’assurance-maladie dans le reste de la France. « Notre système est plus solidaire puisqu’il ne bénéficie pas qu’aux seuls salariés mais à tous, et plus équilibré. Il serait dommage qu’une vision un peu uniformiste pousse à le sacrifier », a estimé M. Marbach.

Les responsables du régime local comptent désormais sur les parlementaires d’Alsace-Moselle, alors que le projet de loi doit être examiné par l’Assemblée à partir du 2 avril. Des députés socialistes alsaciens et mosellans, dont Michel Liebgott et Gérard Terrier, vont déposer un amendement à l’article 1er du projet de loi « afin de garantir la survie du régime local ». Les élus assurent avoir le soutien du ministère du Travail. Afin de donner plus de force à cet amendement, le texte sera proposé à la signature à l’ensemble des députés alsaciens et mosellans. (RL 14/03/2013)

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14 mars 2013 4 14 /03 /mars /2013 08:52

moyeuvre-grande-n-aura-pas-a-payer-sa-penalite-pour-manque-.jpgLe 4 mai dernier, René Drouin, maire PS de Moyeuvre-Grande et vice-président de l’Association des communes minières de France, interpellait le candidat Hollande. Un mois plus tard, il recommençait avec Jean-Marc Ayrault de passage à Thionville. Son propos : dénoncer l’inégalité cachée derrière la loi SRU (Solidarité et renouvellement urbain) qui demande aux communes de plus de 3 500 habitants d’avoir 20 % (puis 25 %, avec la loi Duflot) de logements sociaux. « Bien que cette loi soit fondée dans son principe », estime l’élu.

Mais voilà, Moyeuvre-Grande, en plein sillon minier et sidérurgique sur le déclin, n’est pas Neuilly-sur-Seine. Depuis vingt ans, les modestes maisons des cités minières y ont progressivement été rachetées par leurs anciens locataires. Qui ne roulent pas sur l’or, puisque seuls 38 % des foyers de Moyeuvre sont imposés.

La commune connaît désormais un taux de 82 % d’habitants propriétaires. « Et les anciennes cités ne sont pas comptabilisées comme logements sociaux », rappelle le maire. La Ville n’en compte que 13,72 %. Il en manque donc 317, selon la loi SRU. D’où une pénalité de 26 893 €.

« L ’application dans le bassin sidérurgique lorrain constitue une injustice », dénonce le maire. Un combat déjà amorcé par les députés. « Nous sommes intervenus plusieurs fois à l’Assemblée nationale sur ce sujet », se souvient Michel Liebgott, le député de la circonscription. Des amendements avaient été déposés pour les communes soumises au Plan de prévention des risques. Jugé trop large, cet amendement a dû être retiré. Actuellement, une marge de manœuvre revient au préfet, au cas par cas.

C’est ce qui vient de se passer pour Moyeuvre-Grande.

En date du 6 mars, le préfet a notifié à René Drouin que sa commune serait exemptée de pénalité cette année.

Deux raisons techniques à cela : Moyeuvre-Grande fait partie de " l’agglomération de Metz de décroissance démographique ", selon les chiffres de 1999 à 2009. Mais aussi de la communauté de communes du Pays Orne-Moselle, " dont le programme local de l’habitat est exutoire ".

Une bonne nouvelle qui ne vaut que pour 2013. « Il faudra réexaminer le cas chaque année », rappelle l’élu, qui parle d’« épée de Damoclès ». Car, parmi les soixante engagements de François Hollande, il y avait celui de multiplier la taxe par cinq… René Drouin a fait les calculs : il devrait tout bonnement augmenter sa fiscalité de plus de 5 % !

D’autres communes ne vont pas manquer de s’engouffrer dans la brèche. Clouange, par exemple, qui manque d’une centaine de logements sociaux, payait 15 000 € de taxe.

Les habitants y ont racheté au bailleur les appartements qu’ils habitaient dans des collectifs.

« Nous avons une grosse problématique, c’est que la réserve foncière est très faible », rappelle Claude Diedrich, premier magistrat de cette commune coincée entre une rivière (l’Orne) et deux villes (Rosselange et Vitry-sur-Orne).

« La seule possibilité est de détruire pour reconstruire. » Comme cela a été fait au centre-ville dans les années 90.

Pour Moyeuvre-Grande, la solution pour augmenter le logement social peut passer par la construction.

Mais le maire pointe du doigt « la création d’un îlot de pauvreté dans toutes les villes du bassin minier ».

Autre levier : le parc privé, qui peut entrer dans le logement social à condition que les loyers soient modérés.

René Drouin ne cache pas son amertume contre les petites communes de moins de 3 500 habitants, qui ne sont pas assujetties à la loi SRU. « Alors que les richesses se trouvent là ! ».

« L’application de la loi SRU dans le bassin sidérurgique lorrain constitue une injustice »

Charline POULLAIN (RL 14/03/2013)

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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 11:02
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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 10:52
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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 08:51
regime_local-1-.jpgCommuniqué de presse transmis le 11/03/2013
Le projet de loi portant sécurisation de l’emploi présenté le 06 mars dernier en Conseil des ministres (traduction législative de l'accord national interprofessionnel signé le 11 janvier dernier)  prévoit la généralisation de la couverture complémentaire des frais de maladie. Ce nouveau dispositif sera obligatoire comme le régime local d’assurance maladie mais offrira des garanties supérieures à ce dernier.
Dès le 27 février, avec mes collègues Philippe BIES, Armand JUNG (députés du Bas-Rhin) et Gérard TERRIER, soucieux de préserver les atouts de notre régime local d’assurance maladie, nous avons rencontré les plus proches collaborateurs de M. Michel SAPIN, Ministre de l’emploi, en compagnie de M. Daniel LORTHIOIS Président du régime local d’assurance maladie d’Alsace-Moselle et de M. Eric SANDER Secrétaire général de l’Institut du Droit local.
Cette rencontre nous a permis de mesurer l’engagement du Ministère pour apporter une réponse adaptée aux enjeux. C’est donc avec son soutien que nous déposerons un amendement à l’article 1er du projet de loi. Afin de lui donner toute la force qu’exige la situation nous proposerons ce texte à la signature de l’ensemble des députés Alsaciens et Mosellans.
Les conclusions du Conseil d’administration du régime local qui s’est tenu ce jour constituent un soutien précieux pour l’action parlementaire en cours sur ce dossier, et qui se poursuivra dans le cadre du Projet de Loi de financement de la Sécurité Sociale pour 2014.
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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 08:47

engages-volontaires-d-alsace-lorraine-toujours-dynamiques.jpgL’assemblée générale de la section locale de la Feval (Fédération des engagés volontaires d’Alsace-Lorraine) est marquée chaque année par la rétrospective du président, Jean-Louis Schneider.

L’occasion de revenir sur les événements militaires qui ont marqué la France. Ils sont souvent dramatiques : soldats tués lors d’opérations extérieures, décès du photographe Rémi Ochlik en Syrie, victimes militaires de Mohamed Merah, deux femmes gendarmes tuées à Collobrières (Var), etc.

Puis, il a évoqué les restructurations militaires en Lorraine, qui est passée de quatorze à neuf régiments, perdant au passage sept mille militaires : « Notre région a payé un lourd tribut à cette réorganisation », a rappelé le président. « La guerre évolue et justifie un recrutement différent », a indiqué le député Michel Liebgott.

19 mars ou 5 décembre ?

Le trésorier, Patrick Comte, a ensuite présenté un bilan déficitaire sur l’année, mais excédentaire au regard des réserves. Le solde des comptes est de 2 613 €.

Jean-Louis Schneider a également évoqué le projet, né en 2011, de faire du 11-Novembre la date unique de commémoration de toutes les guerres. Et il a mis en exergue le souhait de l’actuel gouvernement, d’associer en 2014 le centenaire de la guerre de 1914-1918 et les 70 ans de la libération de la guerre 1939-1945 : « C’est un anachronisme. La bataille de Berlin s’est déroulée en avril 1945, et même chez nous, Bitche n’a été libérée qu’au printemps 1945 ».

Quant au président départemental de la Feval , Albert Brabant, il a évoqué la date du 19-Mars, qui vient d’être reconnue, et qui s’ajoute au 5-Décembre : « Ce seront deux jours du souvenir. Chacun fait ce qu’il veut ».

Pour le député Michel Liebgott : « Il n’est pas question de supprimer des dates de commémoration ». Et Laure Reiter, adjointe au maire, a assuré que « chaque commémoration a sa place dans la ville ».

Le fort de Queuleu : une rénovation ?

En outre, Luc Corradi, conseiller général, est revenu sur le « journal de l’année » de Jean-Louis Schneider, en soulignant son sérieux.

Il a évoqué le fort de Queuleu, qui mériterait d’être rénové, mais il semble que le cadastre ne détermine pas qui en est propriétaire (Ville ou Département). Sans compter le coût d’une telle opération.

Gilbert Kauffmann, président d’honneur, a souligné l’état de délabrement des lieux. Selon le maire, René Drouin : « Queuleu mérite une réhabilitation ».

Enfin, le premier magistrat a une fois de plus déploré la fin de la conscription, « qui était un lien social… », et a mis en exergue la lutte contre le terrorisme menée au Mali par les troupes françaises : « Si nous laissons faire les terroristes, ils prendront le pouvoir sur les sociétés fragilisées ». (RL 11/03/2013)

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7 mars 2013 4 07 /03 /mars /2013 06:28

un-nouveau-city-stade-et-une-piste-de-skate.jpgLa ZAC de Suzange à Serémange-Erzange vient d’être dotée d’un city stade et d’une piste de skate board. Le projet a été soigneusement étudié pour permettre le développement du sport loisirs. Ces installations viennent d’être inaugurées. À cette occasion Armand Giovannacci, adjoint au maire responsable de la commission patrimoine, travaux neufs et urbanisme, n’a pas manqué de souligner que « les infrastructures adaptées sont primordiales, des financements réguliers sont nécessaires à la construction et à la maintenance. La gestion et l’animation des espaces dédiés au sport font partie de la stratégie communale, le sport est un vecteur important de développement social. » Depuis 2009, la ville de Serémange-Erzange a, en effet, beaucoup investi dans ce domaine et l’adjoint de rappeler les grandes réalisations : terrain de foot synthétique, vestiaires, courts de tennis, gymnase, etc.

« Ce dernier projet nous tenait à cœur, nous en avions discuté avec les riverains en réunions de quartiers, une étude de faisabilité a été réalisée, aujourd’hui c’est avec un grand plaisir que nous pouvons voir évoluer les jeunes sur ces deux équipements », s’est encore félicité l’élu, de même que Michel Liebgott, député, Jean Jacques Renaud maire et Sylvie Leber, adjoint aux sports.

La réalisation de ce city stade et de la piste de skate board a été financée par les subventions du Département (à hauteur de 55 %) dans le cadre du Pacte Moselle 2, et du ministère de l’Intérieur (pour 3 %). La commune prenant à sa charge 44 852 € (soit 41 %) sur un coût global de 108 102 € HT décomposé comme suit : 36 052 € pour les travaux de préparation, 31 000 € pour les fournitures et la pose du city stade , 27 000 € pour les fournitures et la pose de la piste de skate, 14 050 € pour les fournitures et la pose de jeux à destination des enfants de 2 à 6 ans.

Désormais ouvert à tous les jeunes Serémangeois, les élus espèrent que ce lieu devienne une zone de rencontres et de loisirs incontournable. « Le sport est un terrain propice pour s’épanouir, donner aux jeunes des repères de vie et de citoyenneté mais aussi de fair-play et de respect ».

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6 mars 2013 3 06 /03 /mars /2013 08:15

le-bureau-avec-les-divers-intervenants-au-cours-de-l-assemb.jpgDes structures en ordre, un effectif en augmentation, le comité en forme et qui n’a qu’un seul souci : « Le remplacement des responsables tous d’un âge avancé. Car les jeunes ne s’engagent pas pour assurer la relève ». Des structures en ordre, un effectif en augmentation le Comité se porte bien et n'a qu'un seul souçi " le remplacement de ses responsables tous d'un âge avancé " les jeunes ne s'engagent pas pour assurer la relève

Le Souvenir français a tenu son assemblée générale, dimanche, en matinée à la salle Molitor. La rencontre a été présidée par Louis Drokenmuller, heureux et satisfait de la présence de près d’une centaine d’adhérents et de nombreux porte-drapeau. Ainsi que des invités d’honneur comme Alphonse Bourgasser, ancien maire de Hayange et président d’honneur du Souvenir français local, du député-maire Michel Liebgott, et M. Nandier représentant Pierre Navacchi, délégué général adjoint retenu.

Helmuth Matschke, membre fondateur du Souvenir français de Neufchef et correspondant du Républicain Lorrain , a été mis à l’honneur pour ses 90 ans.

Dans son rapport moral, Louis Drokenmuller a annoncé une bonne nouvelle : « Les adhérents sont 240, soit une augmentation de 40 membres ». Les actions de l’année ont été listées : la quête du 1er novembre dans les cimetières hayangeois, la rénovation du monument aux Morts. Ainsi que la Semaine de la paix avec les interventions dans les écoles, « qui portent leurs fruits dans la transmission du devoir de mémoire ».

Mais l’âge vieillissant des membres du comité et des porte-drapeaux, ne rassure pas les membres. « Pour assurer les engagements, les responsabilités d’ordre spécifiques n’attirent plus la jeunesse. »

Légère augmentation de la cotisation

Le secrétaire, Fernand Hacquard, a rappelé les soixante sorties avec délégation et drapeau. « Merci de votre disponibilité, en particulier, le président et son adjoint, Michel Fries. »

Le bilan financier, présenté par Serge Gasparini, s’équilibre à 10 502 € dégageant un solde positif ayant reçu quitus des réviseurs aux comptes et approuvé par l’assemblée. Le président a rappelé que l’association « a versé 2 597 € en dons et autres à la délégation générale ». Et la cotisation annuelle va passer de 4 € à 5 €.

Le délégué cantonal, M. Nandier, a félicité le comité et tous ceux qui œuvrent pour la poursuite du devoir de mémoire. « La décision prise à Paris de porter la cotisation annuelle à 10 € n’a pas fait l’unanimité dans les comités et chez les adhérents cotisants dans d’autres associations », rappelle M. Nandier.

Michel Liebgott a mis en exergue l’utilité de la transmission du souvenir, « notamment en Alsace-Moselle qui a beaucoup souffert des guerres ».

Une vibrante Marseillaise a mis un terme à cette assemblée sympathique. (RL 05/03/13)

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6 mars 2013 3 06 /03 /mars /2013 08:08

nouveau-design-pour-la-tenue-2013-de-l-association-lor-n-bi.jpgL’association Lor’n Bike s’apprête à débuter sa 2e saison. Suite aux longs travaux hivernaux, aussi bien administratifs que d’entraînements, l’heure des activités sportives et compétitives est arrivée. Le moment est donc le bienvenu pour se réunir, afin d’évoquer la saison à venir. Les coureurs "route" sont les premiers à avoir repris du service dimanche, à Belleville-sur-Meuse, pour une saison allant jusqu’au 6 octobre. L’objectif sera d’ouvrir le compteur des victoires pour le club, et d’obtenir un maximum de places d’honneur afin de concrétiser une place dans le peloton régional. Pour les coureurs "VTT", la saison s’annonce également riche, avec des participations aux Crapauds, aux courses d’endurance de l’Européan MTB Trophy et du challenge de Lorraine Ufolep. L’objectif sera de conserver un niveau de résultats équivalents au challenge de Lorraine Ufolep. Les VTtistes auront également une tâche de grande ampleur : organiser la première randonnée VTT de Fameck, en collaboration avec la municipalité, le 22 septembre.

L’ensemble des coureurs et adhérents seront sollicités à cette occasion, afin de pouvoir organiser cet événement dans les meilleures conditions. Pour les coureurs "loisirs", une participation en nombre est souhaitée aux manifestations cyclos et autres randonnées VTT. Une implication forte peut permettre également de remporter certaines récompenses "club" en loisirs. Les responsables de Lor’n Bike comptent donc sur tous, afin de réaliser une belle saison 2013, de consolider les bases de la saison passée et de pouvoir encore faire évoluer le club. Au cours de cette réunion, le président, Stéfano Melis, a remercié la municipalité, et les coureurs pour leur aide et leur implication dans la vie du club. « Et bienvenue aux nouveaux licenciés ! » Le comité en a profité pour présenter la nouvelle tenue avec un autre design , signe de la volonté d’évolution par rapport à l’an passé.

Michel Liebgott, maire, lui-aussi cycliste affirmé, a félicité les responsables du club et les coureurs pour les résultats obtenus lors de cette première année. « Continuez à décrocher de bons podiums, afin de porter haut les couleurs de la ville. » (RL 04/03/13)

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3 mars 2013 7 03 /03 /mars /2013 08:52

elus-locaux-et-adherents-de-l-association-etait-nombreux-a-.jpgC’est au Remotel , siège social de la section locale de la FNDIRP (Fédération nationale des déportés, internés, résistants et patriotes), que Julien Demmer, le président, a ouvert la 59e assemblée générale de l’association. Devant une salle tout de même bien garnie, malgré des conditions météorologiques qui ne favorisaient pas les déplacements. En attente Avec une présence dans de nombreuses manifestations patriotiques dans la Vallée et même bien au-delà, la section n’a pas manqué d’activités l’an passé. Une belle manière pour les participants de montrer à quel point le devoir de mémoire est important. Comme lors des visites dans les écoles pour offrir aux enfants des témoignages sur les horreurs de la guerre et les atrocités vécues par les déportés. La parole est ensuite revenue à Hubert Siebenshuh, le secrétaire départemental et membre du bureau exécutif de la section, qui a rappelé au public la prochaine possible dissolution de la FNDIRP. « Peu importe cette décision, la section continuera ses activités. » Une nouvelle rassurante pour les adhérents, et qui pourraient sauvegarder leurs acquis. Le trésorier, Alain Oster, a ensuite présenté le rapport financier qui s’est révélé positif, obtenant du coup quitus de la part d’Irène Rech et de Roger Fortmann, les réviseurs aux comptes.

La parole aux élus. De nombreux élus de la Fensch étaient également présents dans la salle, comme Fabrice Cerbai, le maire de Knutange, qui a rappelé que « l a transmission du souvenir est importante pour nous et pour les prochaines générations ». Le premier magistrat a ensuite laissé la parole à René Gori, son homologue nilvangeois, qui a précisé « qu’il ne faut jamais perdre l’occasion d’entretenir le souvenir ». Des élus toujours attachés au devoir de mémoire, comme Jean Paolini. L’élu hayangeois qui a rappelé que « Julien Demmer est un pilier de la semaine de la Paix qui était organisée à la base avec les écoles hayangeoises, et qui a vu les groupes scolaires knutangeois et fameckois se joindre à cette action. Il ne faut pas oublier que certains ont donné leur vie pour que les enfants puissent vivre aujourd’hui dans un pays libre ». Des propos soutenus par Philippe Tarillon, le président la Communauté d’agglomération du Val de Fensch et maire de Florange, qui a « félicité les membres de la section de vouloir maintenir vos activités en cas de dissolution. Par vos témoignages, vous empêcherez de pouvoir redonner l’occasion à certaines personnes de vouloir faire revivre des idées qui ont tendance à revenir en ces temps de crise ». Le député-maire Michel Liebgott a ensuite clôturé les interventions des élus en soulignant « les difficultés que les déportés ou enfants de déportés peuvent avoir à témoigner de ce vécu ». Des soutiens unanimes de la part des élus locaux que les membres de la section ont fortement apprécié. Les membres de la section se réuniront prochainement pour procéder à l’élaboration du prochain comité. (RL 03/03/13)

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