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13 décembre 2013 5 13 /12 /décembre /2013 10:25
Communiqué de presse
Industrie automobile : enfin un plan d'action !
Strasbourg – Mardi 10 décembre 2013 – lire sur le site http://www.deputes-socialistes.eu
 
Le secteur automobile traverse en Europe une crise sans précédent. En effet, la demande automobile au sein de l’Union est en chute ou en stagnation, tout comme la production. Avec 12 millions de salariés, le secteur de l’automobile est pourtant stratégique pour la prospérité et la création d’emplois en Europe.
« Parce que nous voulons conserver une industrie automobile de rang mondial, il est urgent d'offrir un environnement stable et un avenir à nos entreprises». La stratégie est simple : mettre rapidement en œoeuvre des politiques hautement volontaristes notamment sur l'innovaps-europe-12.13.jpgtion et les aides à la filière automobile pour leur permettre de produire les véhicules les plus économes en énergie et les plus sûrs de la planète », souligne Henri Weber.
« L’Europe peut, si elle s’en donne les moyens, créer des emplois hautement qualifiés dans ce secteur », insiste Catherine Trautmann.
« Cela passe par la recherche et développement, où le rôle de l'Union européenne est primordial », ajoute l’élue. « Mais pas seulement : transports publics et multimodaux, véhicules verts, gestion du trafic, développement de villes intelligentes… l’action de l’Europe dans ces domaines ne peut qu’être positive pour notre industrie automobile. Ce renforcement de notre compétitivité passe aussi par une meilleure prise en compte de l'ensemble de la chaîne de production, faite de PME, et une réflexion sur les matières premières, en particulier l’acier ».
« Enfin, nous nous félicitons de l’encadrement des aides versées : les entreprises automobiles bénéficiant d'une aide à l'investissement pour un site donné seront tenues soit de maintenir leurs activités sur ledit site jusqu'à la fin de la période d'amortissement, soit de rembourser les montants engagés par l'Europe en cas de délocalisation », concluent les deux eurodéputés.
 
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13 décembre 2013 5 13 /12 /décembre /2013 09:59

vincent-peillonLe 18 novembre dernier s’ouvraient les discussions sur l’évolution des métiers de l’éducation nationale. C’est un volet essentiel de la refondation de l’école. La qualité des discussions permet d’apporter dès aujourd’hui des réponses importantes concernant le premier degré.
S’agissant des directeurs d’école, en résumé les principales annonces de Vincent PEILLON, Ministre de l'Education Nationale :
- renforcement de la décharge des activités pédagogiques complémentaires.
- renforcement de la décharge de rentrée pour les directeurs de petites écoles.
- revalorisation des indemnités des directeurs des petites écoles : + 66% de 300 à 500 EUR pour les directeurs d’école de moins de 3 classes ; de 300 à 500 pour ceux de 4 classes ; de 600 à 700 pour ceux de 5 à 9 classes.
S’agissant des RASED : le Ministre conforte l’existence et les missions de Rased. Il cesse les suppressions et programme des créations de postes, là où il y a des besoins.
S’agissant des professeurs des écoles, dans le cadre de la mise en oeuvre de la priorité au primaire :
- mise en place de dispositifs innovants comme le « plus de maîtres »…
- reconnaissance de leur travail de suivi des élèves via l’indemnité de 400EUR.
Le Ministre va également approfondir la réflexion sur les conditions d’exercice des professeurs des écoles affectés en éducation prioritaire ; – les annonces seront faites en janvier.
S’agissant du second degré : création d'une fonction nouvelle, celle de formateurs académiques : des enseignants de terrain vont intervenir dans la formation initiale et continue des enseignants.
Une mesure est d’ores et déjà arrêtée, celle qui concerne les enseignants exerçant dans les établissements les plus difficiles étant donné l’importance de l’éducation prioritaire et sa place essentielle dans nos priorités éducatives (pondération de 1,1 : 1h de cours vaut 1,1h, soit l’équivalent d’une décharge de près de 2h sur un service de certifié) 

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13 décembre 2013 5 13 /12 /décembre /2013 09:29

handball-flo.pngVouloir intégrer une équipe féminine au sein du club FVH (Fensch vallée handball) était, depuis toujours, la volonté du président Thierry Henry et de son comité. Une volonté affirmée qui a eu un écho favorable. Le président a été entendu. Il a reçu les encouragements et le soutien des communes adhérentes au projet à savoir Fameck, Florange et Serémange-Erzange.

En effet, le club a engagé en championnat départemental une équipe de filles des moins 14 ans. La formation survole le championnat et domine ses adversaires avec, à son palmarès, un sans-faute après quatre rencontres qui se sont soldées par quatre victoires, dont la dernière en date a été face à Forbach (28-21).

Les jeunes filles ont été chaleureusement félicitées et encouragées par Philippe Tarillon, conseiller général et maire de Florange, Michel Liebgott, député-maire de Fameck, Michelle Wax, maire de Serémange et par la sénatrice Gisèle Printz qui leur a offert un jeu de maillots.

Un groupe ambitieux

La formation entraînée par Dominique de Sousa est composée de Maïa Bellal, Leia Bourouis, Mélodie Desprez, Lisa Dzbanuszek (capitaine), Anaïs Evrard, Cloë Fortes, Illona Piromalli, Manuella Ribeiro Pereira, Célia Segueni, Sirine Zemmour. « Le groupe a de l’ambition et des qualités indéniables. Sous la tutelle de Dominique de Sousa, elles auront à cœur de progresser et de concrétiser sur le terrain tout leur potentiel. Il y a une solidarité qui ne trompe pas, et c’est pour nous très réconfortant », confie le président, qui s’est félicité du soutien des municipalités dans le projet communautaire. (RL en date du 13/12/2013)

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11 décembre 2013 3 11 /12 /décembre /2013 13:58

Article de Maire Info en date du 11 décembre 2013

Michel Liebgott, député-maire de Fameck (Moselle) est vice-président du Collectif de défense des communes minières, qui se bat depuis les années 1990 pour faire valoir les intérêts des communes sinistrées par l’exploitation minière et de leurs habitants. Il commente ce matin pour Maire info le rapport de Thierry Tuot sur la réforme du Code minier.

Quelle est l’ampleur du phénomène d’affaissement des terrains en Lorraine ?
Sur les deux millions d’habitants de la région, 800 000 sont concernés ! Avec la fermeture des mines, ces territoires ont subi la double peine, avec d’une part la perte de l’activité et de l’emploi, et de l’autre des terrains qui sont en train de s’affaisser, et deviennent inconstructibles. Sur certaines communes, comme à Landres et Piennes, en Moselle, ce sont des villes entières qui sont complètement sinistrées. Et le problème touche des publics fragiles, souvent des veuves de mineurs, dont les maisons deviennent inhabitables. Ces personnes n’arrivent pas à obtenir d’indemnités, parce que les mines ont fermé depuis 15 ou 20 ans et au nom du principe de non-rétroactivité.

Que retenez-vous des conclusions de Thierry Tuot ?
D’abord, que l’État se remet au centre du dispositif. C’est pour moi le plus important. Ensuite, une volonté de purger le passé. Apparemment nos communes vont obtenir ce qu’elles n’ont jamais obtenu, c’est-à-dire la prise en charge des victimes. Le texte parle de rechercher les responsables et de les obliger à payer les dégâts. Je ne me fais guère d’illusions – dans nos régions par exemple, il faudrait aller réclamer auprès de Mittal [qui a repris Arcelor, ndlr], et Mittal contestera. Au final, c’est l’État qui payera, là où c’est trop tard. Mais pour l’avenir, il va donc être demandé aux exploitants de budgéter les dépenses de l’après-mine, quand l’exploitation s’arrêtera.

Avez-vous aussi des critiques ?
Je pense qu’il y a une insuffisance dans ce texte : depuis des années, on se bat pour que les gens puissent reconstruire des maisons neuves. Quand il y a des indemnisations, elle se fait sur la base de la valeur vénale de l’habitation. Mais précisément, ces maisons ne valent plus rien ! Cela reste donc un thème de débat : que les indemnisations permettent aux victimes de reconstruire à neuf.

Ce rapport est malgré tout une réelle avancée ?
Oui ! Cela fait longtemps que nous essayons de faire valoir nos droits. Déjà pendant le débat sur la loi Grenelle II, à l'Assemblée nationale, nous avions, avec Christian Eckert et Jean-Yves Le Déaut, tenté de faire passer six amendements sur ce sujet. Ils n’avaient même pas été discuté, faute de temps. Pour le reste, les seules réactions qui ont eu lieu se sont faites dans l’urgence, au coup par coup, quand il y avait des effondrements. Là, c’est différent : un groupe de travail s’est mis autour de la table et a posé tous les problèmes. Cela aboutit à un texte qui est le résultat d’une véritable concertation.

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9 décembre 2013 1 09 /12 /décembre /2013 09:12

collectif minier-copie-1

Lundi, une délégation du Collectif de défense des bassins miniers lorrains assistera à Paris à une dernière réunion de la commission Tuot. Mardi, le rapport sur la future loi après-mines sera remis officiellement aux ministres concernés.

«L ’ après-mines n’est pas un sujet local, régional, mais une préoccupation natio nale », assure Olivier Tritz. « Il s’agit de régler le passé pour mieux préparer l’avenir », appuie Colette Gœuriot. L’actuel président et la fondatrice du Collectif de défense des Bassins miniers lorrains œuvrent de conserve pour obtenir la promulgation d’une nouvelle et véritable loi en la matière. Un combat sur plusieurs fronts, qu’ils mènent depuis le siège social de l’association à Auboué, dans toute la région mais aussi à Paris.

Etre associé à la réflexion

« Le colloque sur la réforme du code minier, organisé le 11 février 2012 à notre initiative avec la Région Lorraine, nous a permis, par la suite, d’être crédibles auprès de la ministre de l’Écologie de l’époque », apprécie Olivier Tritz. « A la tribune, on comptait des parlementaires et deux juristes spécialistes du code minier. » Interpellée par le collectif, Delphine Batho invite alors une délégation à participer, à Paris, à la commission dirigée par Thierry Tuot, conseiller d’État.

« Au moment des affaissements, il n’existait pas de loi », rappelle Colette Gœuriot, ancienne députée et ex-maire de Jœuf. « Les indemnisations se faisaient dans le cas d’accords amiables. Beaucoup de sinistrés ont été écartés. Quand on a constaté la multiplication des dégâts, les mines avaient fermé et les mineurs étaient devenus propriétaires. L’exploitant ne répondait plus présent pour assumer ses responsabilités. »

Multiplier les réunions de travail

« Très régulièrement, jusqu’en juillet dernier, on a travaillé au sein de la commission Tuot », précise Loris Ravasio, le président de l’association des propriétaires victimes de dommages miniers du bassin de Piennes-Landres et secrétaire du collectif. « On a même rédigé plusieurs propositions pour réformer le code minier. » (lire ci-contre).

Fin septembre, le collectif sollicite donc une table ronde pour faire le point sur le dossier. Les députés du Parti socialiste, Eckert, Le Déaut (Meurthe-et-Moselle), Liebgott, Zanetti, Kalinowski (Moselle) et Dubois (Sarthe), reçoivent ses représentants à l’Assemblée nationale. Le 20 novembre, ceux-ci rencontrent également Eliane Assassi, sénatrice de Seine-Saint-Denis, Evelyne Didier (Meurthe-et-Moselle), Cécile Cukierman (Loire) et le sénateur du Pas-de-Calais, Dominique Watrin.

Etre consulté avant la remise du rapport

« Avant que le rapport Tuot ne soit remis officiellement aux ministres de l’Ecologie et du Redressement productif, le 10 décembre, on demande logiquement à le voir », annonce le trio.

Olivier Tritz a donc écrit à l’actuel ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie, Philippe Martin. « Nous souhaitons une nouvelle loi après-mines pour remettre l’État au cœur du débat mais aussi relier le code minier à la charte de l’environnement », y explique le vice-président du conseil général 54.

Finalement, le courrier n’est pas encore parti que le collectif reçoit un mail l’invitant « à la réunion conclusive le 9 décembre », apprécie Olivier Tritz.

Le collectif pourra donc voir le rapport Tuot avant l’écriture du projet de loi. « On espère qu’une commission spéciale sera créée à cet effet afin que l’environnement soit véritablement pris en compte par les parlementaires et pas seulement l’aspect économique. Le projet de loi devra ensuite être examiné à l’Assemblée nationale. On n’est pas encore au bout du travail mais on avance. »  (RL en date du 09/12/2013)

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8 décembre 2013 7 08 /12 /décembre /2013 10:06

tonna-fameck.pngL’entreprise Tonna Électronique vient d’installer son service de recherche et développement sur la ZAC de la Feltière dans un bâtiment relais loué par le Val de Fensch.

"Nous sommes, ici, dans de la haute technologie ", salut Michel Liebgott. La visite du tout nouveau site de l’entreprise Tonna, à Fameck, ne pouvait que convaincre le député maire et les élus du Val de Fensch. Depuis le printemps dernier, 21 salariés, techniciens et ingénieurs, du n°1 français dans les systèmes de réception TV, ont pris possession du dernier bâtiment relais créé par la communauté d’agglomération sur la ZAC de la Feltière. Ces 1 200 m² – financés pour 1,2 M€ par la Région, le Val de Fensch et l’État – loués à l’entreprise lui ont permis de rester ancrée dans la région. Jusqu’alors installée à Mondelange, Tonna cherchait des locaux mieux adaptés pour son service de recherche et développement.

« Nous aurions pu réintégrer Reims (siège social de la société NDLR.) mais c’était prendre le risque de perdre des ingénieurs expérimentés. Nous avons trouvé cette solution pour conserver les compétences humaines », confie Bruno Proust, président-directeur général de Tonna Électronique.

Made in France

Plus globalement, « nous avons fait le choix de conserver et de développer nos savoir-faire en France », insiste le Pdg.

Créée en 1951, Tonna Électronique, qui compte aujourd’hui 200 salariés sur quatre sites français, s’est d’abord spécialisé dans les antennes râteaux. « Notre métier aujourd’hui c’est la conception de tout ce qui est entre le signal émis et la prise du téléviseur », explique Laurent Biolchi, directeur du site fameckois. Soit une gamme de produits très large, de l’antenne jusqu’à la fibre optique et réseaux IP ( Internet Protocol ).

À leur poste de travail entre écran vidéo et carte électronique, les techniciens peaufinent, par exemple, des systèmes de réceptions satellites pour logements collectifs qui permettront d’éviter la multiplication des paraboles sur chaque balcon.

Pour l’entreprise, la mutualisation des réseaux est bien un marché d’avenir. « Notre objectif aujourd’hui, autour de ce nouveau centre de recherche, c’est de permettre l’ouverture vers l’export », précise encore Bruno Proust. Pour ce faire, Tonna mise également sur une activité qu’elle vient de développer : les portiers et contrôles d’accès en vidéo protection.

La Feltière, développement continu

Largement saluée, lors de cette inauguration officielle, l’implantation de Tonna Électronique à Fameck est aussi symbolique du développement continu de la ZAC de la Feltière.

Philippe Tarillon n’a d’ailleurs pas manqué l’occasion de rappeler les projets à venir sur cette zone communautaire à vocation industrielle mais aussi tertiaire.

Le long de l’avenue François-Mitterrand, à proximité immédiate du bâtiment Tonna, sept parcelles seront prochainement dédiées à un village artisanal. Côté commerces, un BricoMarché doit ouvrir ses portes avant la fin de l’année. Des enseignes pour l’équipement de la maison et le loisir devraient également s’y installer. Un projet d’hôtel est aussi espéré. De quoi conforter le leitmotiv du président de la communauté d’agglomération, « ce territoire a un avenir ». (RL en date du 08/12/2013)

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7 décembre 2013 6 07 /12 /décembre /2013 11:47

lucchesi.png

L’association des Lucchesi nel mondo, section de la Moselle, vient de fêter son quarantième anniversaire. L’association a relevé le pari lancé lors de sa création : maintenir vivante la culture toscane, et rompre l’isolement des Lucchesi en Moselle.

Les traditions transalpines avec des fêtes comme la Befana, la Pentolaccia et bien d’autres sont respectées. Et la structure joue un rôle dans la culture de la ville.

Lors du vernissage de l’exposition, laquelle s’est tenue du 15 au 29 novembre à la bibliothèque municipale, la plupart des visiteurs ont mis en exergue le travail de l’association.

« Lorsqu’on a envisagé de jumeler Hayange, Alberto Lucchesi, le président, nous a proposé la ville de Barga en Toscane. Un choix judicieux tout de suite adopté », rappelle le maire Philippe David.

Les sympathisants ont souligné le savoir-faire du comité qui a tissé des liens avec toutes les communautés de la ville. Une intégration vérifiée lors des soirées dansantes organisées régulièrement. (RL en date du 07/12/2013)

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26 novembre 2013 2 26 /11 /novembre /2013 10:53

tennis-uckange.png

La cérémonie a été organisée au club-house du tennis, sous la houlette de Gérard Leonardi, maire, en présence de Michel Liebgott, député, Lionel Ollinger, président de la Ligue de Lorraine de tennis et d’Ahmed Derdab, président de l’Office municipal des sports (OMS) et adjoint au maire.

Il a été rappelé que le sport n’est pas considéré à Uckange uniquement sous le seul aspect de la performance, mais plus encore comme un vecteur fort de cohésion sociale.

Le deuxième court de tennis couvert a été conçu pour être totalement et parfaitement intégré au premier court, construit en 1992. Implanté avec un recul d’une dizaine de mètres par rapport à l’ancien, son accès se fait depuis une large ouverture créée entre les deux bâtiments, qui permet leur liaison. Des panneaux translucides intégrés aux parois laissent pénétrer la lumière. Le revêtement du terrain, en résine synthétique, offre toutes les qualités de jeu et de confort aux joueurs. L’ensemble des surfaces des deux courts a été peint dans les mêmes couleurs pour donner un aspect uniforme et d’un seul tenant.

Le projet, dont le coût total est de 404 000 €, était une promesse du mandat. Benoît Maillard, président du tennis-club, n’a pas manqué de remercier la municipalité. Le tennis va pouvoir continuer à progresser à Uckange grâce à une telle infrastructure et participer aux nombreuses actions de l’OMS, destinées à favoriser la pratique sportive.

D’autres travaux sont en route ou à venir. Un parking totalement dédié aux adhérents du club de tennis et aux visiteurs est en cours d’aménagement. Les vestiaires et les douches seront prochainement rénovés en totalité. (RL en date du 26/11/2013)

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26 novembre 2013 2 26 /11 /novembre /2013 10:50

« C’est une fenêtre de tir dont nous disposons. J’espère que le texte pourra être examiné assez vite ! » Joint par téléphone hier, le député PS Christian Eckert confirme qu’« une réforme du Code minier est à l’étude. Elle a déjà fait l’objet de plusieurs travaux parlementaires ».

Quand son emploi du temps chargé ne lui permet pas d’assister aux réunions comme celle qui a eu lieu pas plus tard que la semaine dernière, c’est son attaché parlementaire qui le représente (Francis Herbays a également assisté à l’assemblée générale de l’Advam de Landres et environs). « Notre ambition est très vaste avec les députés lorrains – Michel Liebgott, Paola Zanetti, Laurent Kalinowski et, bien sûr, Jean-Yves Le Déaut – et d’autres parlementaires de l’Aveyron, du Nord… Il s’agit de se pencher sur les autorisations d’exploiter, de fin d’exploitations mais aussi de veiller à ce qu’il y ait un chapitre sur les indemnisations de dégâts miniers pour améliorer ce qui existe déjà. »

Le député de Meurthe-et-Moselle ignore, en revanche, quand l’examen du texte aura lieu. « Je ne connais pas le calendrier précis de l’Assemblée nationale », assure Christian Eckert qui compte néanmoins bien se faire entendre et ce, « dans un contexte où les gaz de schiste et de houille risquent de prendre toute la place dans l’actualité ». Après le président de la commission du développement durable, il souhaiterait rencontrer en ce sens Philippe Martin, le ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie. (RL en date du 25/11/2013)

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25 novembre 2013 1 25 /11 /novembre /2013 10:33
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